1()4
H
I
s
T
o
I
ll
I!
exces
áe!
vívacité m'a fait ouvrir
aufiit~t
la
bouche. Que..... que.-...
j'
allois dire que
penfe-t-il done de moi
?
mais je me fois re–
tenue alfez heureufement pour changer d'i–
dée ,
&
j'ai dit , pour finir ma phrafe :
que
d'honneur vous me faites , Mademoifelle,
de prendre tant de peines pour moi
!
Elle
m'a, regardée d'un air malicieux,
fe
tour–
nant vers
fa
fceur: comptez, lui "a-t-elle dit,
que cette chere Henriette eíl: plus qu'une
demi-fi-iponne. Puniífez-la done, Charlotte,
a
répondu Miladi.
I1
vous en a ..rant coi'iré
poar vous ouvrir
a
nous ,
que
vous avez
acguis une efpece de droit d-e punir ceux qui
affeétent des déguifements avec leurs meil–
leurs amis.
Julle ciel
!
me
fuis-je écriée. Que ....:
que ....... Je voulois dire, que Úgoifie ce
reproche
?
mais je
n'
ai pu achever ,
&
j'ai
fenti
la
rougeur qui me monroit au vifage.
Que....... qtie;·-··· a répété mifs Grandiífon.
Que, que va devenir le ramage de cette
cher~
folle
?
J'avois
a
la main mon moucl:ioir de
cou,
&
j'ai voulu le inettre;
mes
óras
font
'demeurés ¡mmobiles..rai tremblé. La parole
m'amanqué.
Mifa Grand.
Confirmation, Miladi
!
con–
finnation
!
Miladi
t:,.
,_
.•
J'cn
juge de meme,
mais
foyez fure que je n'en avois pas befoin.
Mifs Byr.
En
vériré, Mefdames, vous
rne
jetez dans une extreme furprife. Que peut
tign.ifier c.ette
atta~ue
foudaiue?