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du
to
ut. C'eíl: le foul moyen
a
préfent....
&
nous n'irons pas plus loin, vous favez. Mais
dites-mcii :.ne vous repentez-vous pas du re-
fus que vous -ave:z. fait
a
miladi
D.......
Mift Byr.
Je n'ai poim d'hurneur, Mef–
darnes; mais
il
n'eft pas agréable ae
[e
voir
pouífée......•
Mifs Grttnd.
Convenez done que vous
etes
femme,
Henriette~
&
que fur certains points
vous eres capable d'affeétation
&
d.e réferve.
Je vois , ma ch
ere,qu'il y
a
d
cas ou le¡
vertus
~ontr-air,es
Í.ui'piífent
le
pouvoir d'une
femme.
Mifs
Byr.
Suppoíez done que
j'
en fuis une:
Je ne me fois jamais donnée pour fupérieure
aux défauts que vous attribuez
a
mon fexe.
Je
fuis foible , rres-foible...
&
vous voyez
que
je le fuis.
( J'ai tiré mon mouchoir, fans pouvoir
m'.empec11er de le poner
a
mes yeux
).
··
Mifs Grand.
Bon , pleurez , mon amour.
Ma freur fe fouviendra de m'avoir entendu
di
re que je
11'
ai rien vu de
íi
aimable que mifs
Eyron en pleurs.
Mifs Byr.
Qu'ai-je fait pour mériter...
Mifi
Grand.
Un compliment .de cette na–
ture. Fort bien; rnais je ne veux pas non
·plus que vous pleuriez. Quoi done? le fujet,
Henrietre , vous par-0rr-il
íi
touchanr?
Mifs Byr.
Vous me furprenez , Mefda–
mes. No\lb nousfommesquittées fans aucune
ombre de reproches;
&
rout d'un
co~'
"VOUS
m'accablez toutes deux.
Mifs
&ra11J.