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n u

Cn:

r:

v~

6'roA

N

n-rs s-o

N.

1'71'

!ions nous n'ayons pas vu votte creur dans:

vos yeux_; que nous n'entendions pas ce que

íignifient ces foupirs qui vous échappent;

( j'ai foupiré) oui, cela pi;écifément. Je fuis

demeurée confondue; mais pour nous expli–

quer férieufement , nous vous protefrons,

chere Henriette , que

íi

nous n avions

pa~

eu quelque perit engagement avec miladi

Anne

S....

nous n'aurions pas atteudu fi

rarcf

-;l

vous mettre íur ce

ti:

e matiere.

T

ous

[es

parents nous ont follicitées;

&

vous avez pu

remarquer vous-meme qu'elle ne fait pas

myfterede fes fenriments.

Mifs B:yr.

(

Retirant

un~

de fes

mains

pour

prendre íon mouchoir). Mes cheres dames

!

vous m'a1furez devorre amitié. Nefera-r-elle

p;is

place

au

mépris? J'avoue...

(La voix m'a manqué. J'ai continué d'e[–

fuyer mes yeux ).

Miladi

L ....

Qu'avoue-t-elle, cette chere

fille?

Mifs Byr.

Ah, Madame! fij'avois de moi

l'opinion que je n'ai pas fujet d'en avoir; car

je 11'en ai jamais eu moins que depuis que je

vous connois toutes deux, je con!emirois -

a

vous ouvrir mon creur fans réferve ; mais

j'aiune graceavous dernander,

&

jecompte

de n'etre pas refu[ée.

Miladi

f2

mifs Grand.

Quelle grace? Parlez.

Mifs Byr.

C'eíl: de me preter un ca1roffe

pour retourner ce foir

a

Londres. Et je vous

affure que la ville ne me retiendra pas

long~

temps. En véi:iré,

Mefqames,

je ne pourrai

H

i.