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out été obligées ' pour leur peine ' de me
Íoutenir leurs fels fous le nez. M0n creur
ávoit été ú affoibJi par leurs perféoutions pré–
cédentes, qu'il n'a point
en
la
force
de
réúfrer ,
&
j'
ai lailfé romber
ma:
tete
for
J'épaule demifs Grandiífon. Cependant quel–
ques !armes m'ayant foulagée, je leur
ai
demandé leur pitié. Elles
m'
ont
pro
mis toute
leur rendreífe,
&
miladi m'a preffée,
au
.norn
de leur arríitié, de leur ·Ouvrir entiére–
meut mon creur.
J'ai
penfé. J'ai réfléohi. J'ai héíité.
tes
expreffions fembloient
fe
refufer
a
ma
lan–
gue. Enfin, elles'eft déliee.
Si
j~
avois trouvé,
Mefdames, 9uelque raifon qui m'eur
p.iru
cap2ble de
fil
excufer
a
vos yeux' le nom de
freur, q11e vous m'avez
fait
la g-race de
me
donner dt:s le premier momenr,
m'
auroir
fuir
bannir tome réferve avec mes
frem:s. Mais
3
préfent, néamncins.... (Je me fuis
arret~
jci
,
~<. m~
ter
e s'efl: penchée malgré moi ).
Mdadt L .....
Parlez done, ma chere.
Eh
bien '
a
préfent...
M1fa
Grand.
Eh bien,
a
préfent néan–
·moins....
( Ces inftances m'ont encouragée.
J'
ai
le~é
la rete
auili
hardiment que je l'ai
pu; mais
pas
trap hardip.1ent, je m'imagine
).
Mifs Byr.
J'avouerai que celui dont le
conrage
&
la bonté ont engagé m.a recon–
noiífance par le plus important des fervices'
eft en pof!e11ion de tout mon creur.
.Eir
la~ c~re
Lucie ., fans fav.oir en vé-:.