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J
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t;
des principes. Jetons un peu les yeux devant
nous. Mais n'a.imeriez-vous pas mieux paJfer
dans votre cabinet?
Mifs Grand.
Je ne veux rien cacher
a
l'af–
fembJée. Ma confiance pour ceux
qui
la
com·
pofent eft égale
a
ll'l011 :1111irié.
l\1ais je de–
mande la perruillion de forrir un moment.
Elle eft fortie, apres m'avoir fait íigne de
la fuivre ;
&
cherchant
a
parrager
fa
foure
j
elle m'a fait un nouveau reproche de ma
pailion d'écrire,
qui
l'avoit empf:chée,
m'a–
t-elle
dit,
de me fuire
fa
confeflion. Je lui
ai
-Oemandé
a
qu<!>i cette confidence auroit
fer–
vi,
&
íi
fon frere en auroit moins......
Non,
a-t-elle interrompu ; mais vous m'auriez
donné votre avis. J'aurois eu cet avantage ,
&
peut-étre m'auriez-vous confeillé de pré–
venir
1'
accufation. Mais pardon , a-r-elle
ajouté.
O
Charlotte
!
ai-je ¡;ien[é en moi-meme;
fi
vous pouviez prendre un peu plus d'em–
pire fur votre charmante vivacité, vous 11'au·
riez
pas deux pnrdons
a
demander au lien
d'un.
Elle
1n'a
priée de rentrer avant elle :
mais
elle
m'a
fuivie prefqu'au!Titot. Elle
a
repris
fa
place
; &trouvant le mayen
d'all~er
avec fon
em.lr,arras un air de vérirable dig–
nité; ell
e a préparé narre attention par
cet
te!'Corde.
S'~l
1;'efl: pas trap tard, apres une longu.e
perfevernnce dans l'erreur,
¡mur
me
rérabl~r
ida;w
l'
~fprit
d'
un frere done
l'
efüme
&
l'
ami-