t46
H
r s
T
o r
it
f
venue
a
Colnebroke. Comptez, Moníieur ;
que je ne vous cacherai rien. A préfent que
je Cuis rentrée dans le bon chemin, il ne
·m'arrivera plus él_em'en écarter. Mes fauxpas
m'ont aífez fait fouf&ir; quoique j'aie
fait
bien des efforts ,
&
fouven~
avec
µn
courage
affeél:é , pour réíiíl:er au poids qui me tenoit
la
poiq:ine op)Dreífée.
Sir
Charles s'eíl: levé ici avec tranfport,
i1
a pris une des mains de mi(s Charlotee,
&
la ferrant entre les íiennes : chere
freur,
fille digne de ma mere
!
aprt:s une franchifo
fi
noble,
no~s
ne devons plus vous pennetrre
de vous accufer vous-meme. Une erreur
feconnue avec tant de graces eíl: une glo–
rieufe viétoire. Si le capitai11e Anderíon vous
paro'it digne
d~
votre ccrur
>
je
lui
promets
une p}ace da11s le mien;
&
j'
emploierai tout
mon crédit auprt:s de milord
&
demiladi
L...
pour leur faire agréer fon alliance.Mifs Byron
&
le doéteur Rarlet
lui
accorderont leur
amitié.
Il
a
repris
.fa
chaife , en faifant éclater
,fans tous fes traits un melange de joie
&
J'
affeétion fraternelle.
Nifs Granfi.
O .Moníieur
!
que
puis-je
répondre? Votre
b~nté
redouble
m01~~~barras. Je vous ai dit comment je
m
etois
laiífée comme encha'iner. Les foins
de M,
.¡\nderfon Ol'lt commencé avecrefpoir
d'und
~rande
fortmi.e,
qu'il
croyoit tbt ou tar
mfaillible pour une filie de
ftr
ThomasGran·
J:liíf9p 1
J'íÜ
+~\:9ppu;
P,ans
mil.le occafio.ps•