11uCHl!V.G:1tANDB!lO>l'.
14r
nos renéontres n'ont point été fréquenres,
parce qu'il -éroit canrot ·en Ecoffe , tantót
en Irlande , ou daos d'.aurres provinces du
royaume
&
qu'il paífoit fix -ou
fept
01ois
.ivec
fa
troupe.
_
Sir Clz.
Dans quel lieu eíl:-il
a
pFéfenc?
Mifs Grand.
Sir Charles oadine. Ceux
qui vous onr informé de l'affaire, Mon–
fieur, ,J.1'ont pas l'nanqué
d'y
~oindre
·cette
circoníl:ance.
Sir
Ck.
(Souriant ). Ileíl:vrai ,Mndemoi–
Jelle' qu'on ne me l'a point cachée. I1 eíl:
a
Loindres.
MifsGrand.
Jeme flatre d'apres unecon–
fellioR 6 naºive, que mon fi:ere eíl: trop géné–
remc pour me tendre des pieges, comme je le
mériterois , 6
j'
étois moins fincere.
Sir
Ch.
Ce reproche eíl: juíl:e , Charlotee,
&
je vous demande pardon. N'aHe pas dit
que chacun de nous en a quelquefois befoin ?
Cependant rnon intention n'étoit pas·de vous
embarraffer ; je 11e penfe, en vérité, qu'a
vous uendr-e la main.
Mifs
Grand.
Avec un h:ere tel que
vous,
que n'avons-nous eu la liberté de luí écrire
&
de recevoir fes lettres
?
Je ferai rrop heu–
reufe, fije puis réparer•..•
Sir Ch.
(1 interrompant).Continuez vorre
fécit , ma
chereCharlotte.La réparation
l'
em–
porte déja beaucoup fur la faure.
.
Mijs Grand.
M. Ande.rfon eíl: a Londres.
Je l'ai vu deux fois depuis fon rerour. Je de–
:vois le voir
a
la comédie'
fi
je n'étois pas
':fome
111.
G