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136

H

1

s

T

o

I

n. :r

répondu bien mal

a

mes imenrions.

Si

je

vai~

trop loin' chere fa:ur'

e'

ell:

a

vous de me

le fuire connoitre. Me préfervele cielde faire

valoir

111011

car2él:ere aux dépens du veme!

Parlez de bonne

foj ;

fuis-je

un

imprudent?

Oui

, Charlotte , je veux le fuppofer : &

je

vous demande feulement en quoi jepuis

con–

tribuer

a

votre bonheur.

Mifs Grand.

(En pleurant amérement ).

Pardon , mon fi:ere

!

Ajoutez cette grace

a

tant d'obligations que je vous ai déja.

Il

efr

vrai que

j'

ai

quelque chofe

a

me repro–

cher.

Sir Clz.

Si

je vous pardonne ! Oh! c'efl: du

fond du creur.

.

Mifs

Grand.

(En s'eíTuyant les yeux ).

Ne

continuez-vous pas votre récit ?

Sir Ch.

Nous prendrons

w1

autre temps,

Mademoifelle.

Mifs Grand.

Mademoifelle ! Ah! je vois

trop que vous eres irrité contre moi.

De

grace, continuez.

Sir Ch.

Irrité? Je vous aíTure que je ne

le fuis point. Mais vous aurez la bonté ,

quand vous le fouhaiterez, de m'accorder

une heure d'entretien dans vorre cabiner.

Mifs Grand.

Non, non. Conrinuez, je vous

prie. Il n'y a perfonne ici qui ne me foit

rres–

cher. 11

faut

que tout le monde encende roa

juilificarion ou ma fenrence. De grace, Mon–

íieur , reprenez votre récir. Pourquoi s'eíl:–

on levé ? Mifs Byron , faires-moi le plailir

de vous aífeoir.

1•

Je crois que j'ai

rorr.

Mon