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H
1
s
T
o
I
n. :r
répondu bien mal
a
mes imenrions.
Si
je
vai~
trop loin' chere fa:ur'
e'
ell:
a
vous de me
le fuire connoitre. Me préfervele cielde faire
valoir
111011
car2él:ere aux dépens du veme!
Parlez de bonne
foj ;
fuis-je
un
imprudent?
Oui
, Charlotte , je veux le fuppofer : &
je
vous demande feulement en quoi jepuis
con–
tribuer
a
votre bonheur.
Mifs Grand.
(En pleurant amérement ).
Pardon , mon fi:ere
!
Ajoutez cette grace
a
tant d'obligations que je vous ai déja.
Il
efr
vrai que
j'
ai
quelque chofe
a
me repro–
cher.
Sir Clz.
Si
je vous pardonne ! Oh! c'efl: du
fond du creur.
.
Mifs
Grand.
(En s'eíTuyant les yeux ).
Ne
continuez-vous pas votre récit ?
Sir Ch.
Nous prendrons
w1
autre temps,
Mademoifelle.
Mifs Grand.
Mademoifelle ! Ah! je vois
trop que vous eres irrité contre moi.
De
grace, continuez.
Sir Ch.
Irrité? Je vous aíTure que je ne
le fuis point. Mais vous aurez la bonté ,
quand vous le fouhaiterez, de m'accorder
une heure d'entretien dans vorre cabiner.
Mifs Grand.
Non, non. Conrinuez, je vous
prie. Il n'y a perfonne ici qui ne me foit
rres–
cher. 11
faut
que tout le monde encende roa
juilificarion ou ma fenrence. De grace, Mon–
íieur , reprenez votre récir. Pourquoi s'eíl:–
on levé ? Mifs Byron , faires-moi le plailir
de vous aífeoir.
1•
Je crois que j'ai
rorr.
Mon