, bV
Cm;v.
Gn.ANnrss.oN.1-;-7·
itere vous a príés t
ous de prendre pitié de
:moi en filence,
fi
vous me trouvez coupable.
-Peut-et~
iuroís-jé
befoin en effet d'e votr-e
·pitié? Je v0us foppüe, Moníieur,
de
m'ap'–
-pren,are ouve1ttemenr ce que vuus favez d'e
·mes fauces.
l
Sir C!z,
Tres-chere Charlone, j'en ai
dit
·a{fez pour }es fajre
fentit
a
V-Otre
<;CI:Uf,
Je
·me garderai bien d'aller p'lus loin. Ne voús
<3maginez pas, ma chere-freur, que je veuille
·prendre
wi. to,mde cenfeur avec vous._Mais...
• '
Mífs
'Gra.nd.
(
L'inrerrompant avec un.e
-agitatio
n e'Xtreme ). Mais quoi , Mon.lieur
?
·
·Sir V!z.
Mais vous auríez
fa1t
~nieux
•...•
Cepend<\nt je fouhaíte d'avoír été trompé
fur
<ee
point,
&
de ne pas tronver que ma
freur
ait
tort.,
.
Mifa
<;rand~
Hé.bien , Moníieur , on ne
vous a point trompé,
fil'
OJ1
v'o\15 a
die ...
1
•
l
en paroíffimt chercher fes
~xprdlíons
).
.
Si
r·C!z. Qu'il exííl:e un bGnnme pour lequel
vous
av.ezdu got'.it, malgré...
Mi
fs Grand.
(
L'ín.terrompant ).
MaLgr~
'tOut
ce que
j'a~
pu dirn de contraire, n'efr-ce
Eas?
4
cela eíl:, Monfieur, c'eíl: une grande
taute de l'avoir défavoué.
Sir Cfz.
Et c'efl: ce que je pen[e
uniqae~
ment ,
ch
ere fa!ur ; .éar ce n'efl: poínt une
fau:te de don11et
lapr~fe-nce
a
que1qµ'un da116
votre efüme. Ce n'en e'tl1 point un.e,
de~
donner fans avoir confo1ré votre frel'e.
Ne
me
[uis-je
pas propof€ .de v9us l?-iífer eniié–
¡-ement ma1treífe d·e votre condti1te & de vos