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aétions
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11 ne feroit pas généreux de m'attri·
buer d'autres droits, lorfque je n'ai rien
fait
pour vous que je ne regarde comme
un
devoir. Ne m'en croyez pas capable. Non.
Mais je m'étois a{fez expliqué avec vous,
pou
r devoir compter que vous ne me lai!fe·
riez
p.asdire
a
milord G...
&
méme au comte
fon
pere, que vos affeél:ions n'étoient point
cngagées, lorfqu'elles
l'
étoienteffeél:ivemenr.
Mifs Grand.
Etes-vous sur , Monfieut,
qu'elles le foient.
Sir Clz.
Oh! ma freur
!
qu'il m'en coúte,
pour vous pouífer comme je fais
!
Demeu·
rons-en la. Par confidération pour vous–
meme, n'allons pas plus loin.
Mifs Gr1111d.
Nommez votre hommc •
Monfieur.
Sir Clz.
Le mien
?
oh non , Charlotee ; le
capitaine Anderfon n'eíl: pas mon homme.
Auffitot
fü
Charles s'eíl: levé, il a pris la
rnain de fa freur , qui fembloit immobile,
il
l'a prelfée de fes levres.
Ne vous troublez point
a
cet exces, lui a–
t-il dit, votre chagrín m'affiige plus que
votre erreur ;
&
lui faifant une profonde
révérence, il efi: forti fur le champ. C'éto!t
par pitié pour
fa
contulion, qu'il voulo1t
lui laiífer le temps de
fe
remettre. Elle efr
demeurée toute interdite. Miladi L ..• s'efr
hatée de lui préfenter des fels: peut-erre n'en
avoit-elle jamais eu befoin que dans cette
occafion.
Que je fuis méprifable ! s'efr-elle écr!éc
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