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u
e
n
!
V.
G
R A N D
.I
s s o
N.
'q'
rnéme
a
mes propres yeux
!
Je vous demande
gr:ace , mifs Byron
!
doél:eur Barlet
!
L'accor–
derez-vous
a
ma folle perfévérance? Pardon,
milord,
&
vous, miladi, n'aurez-vous pas
un
peu d'indulgence pour une fo:ur
?
Mais
fir
Charles ne ceífera jamais de me voir fous
un
jour
G
humilianr.
Il
doit lui en courer en
effet
!
Qu'il eíl: vrai qu'une erreur ne manque
point d'en attirer d'antres
!
Son &ere , enrendant
fa
voix,
&
celle de
toure l'aífemblée, qui s'effors;oit de la con–
foler, eft rentré fans affeél:ation. Elle avoulu
fe
lever;
&
dans la difpofüion ou elle pa–
roiífoit, peut-etre alloit-elle fe jeter
a
fes
pieds. Mais
il
a pris fes deux mains jointes
Cl.ans une des fiennes;
&
de l'aucre tll:ant un
fau~euil,
il
~·e~
a1Iis .Pres .d'elle. Une douce
ma¡eíl:é relwf01t fur fon v1fage avec
'la
com–
paffion;
il
n'a paru terrible qu'aux yeux
de
rnifs Charlotee. Pardon , Monúeur , ont été
fes prerniers mots.
. Oui , chere freur , lui· a-t-il répondu
affeél:ueufement. Chacun de nous n'a-t-il
pas befoin de la meme grace:
Not~e
com–
paffion n'efl: jamais plus fincere pour autrui,
que lorfque nous en avons
a
demander pour
nous-memes. Souvenez-vous feulement d'a–
doucir
la
févérité de votre vertu pour les
aurres.
Sa réRexion tomboit apparemment fur
Mad. Oldham.
On ne prévoit pas toujours , a-t-il con–
thmé,
QU
peut conduire le moindre oubü