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CH'F.V.
~RANDJSStHt.
q;
fe
retirer; rnais
fa
Charles l'a preffé au con–
traire de demeurer, pour fervir d'av
ocat afo
f~ur.
Mifs Byron,
~-t-il
dir, fera l
'offi.ceéle juge.
. J'ai demandé forternent d'en erre difpen–
fée. L'affaire fembloit commencer a devenir
-trop férieufe.
.
Mifs Chadotre m'a dita l'oreille : que je
regrette de ne vous avoir pas ouverr entié–
reinent mon creur
!
c'eíl: vorre perfide écri–
ture qui en eíl: caufe. On ne vous trouve
jama.i& que la plume
~
la main. Je lui ai
répondu; chere mifs Grandiffon, ce n'étoit
point
a
moi de vous preífer la-deffus.... chere
mi[s
Grat¡diífon, ma ph1me n'auroit i:ien em–
peché ', fi vous m'aviez marqué le moindre
deffein... Il
y
a
des fecrets, a-t-elle inter–
rompu , qu'on ne
révele point fans erre
un peu preffée. On
a.de!'embarras a com–
rnencer, quoiqu'on
y foitporté par le mou–
vement du cq:ur. Mais, chere mifs Byron,
ne me méprifez point. Vous voyez quel eíl:
mon accufateur. Il eíl: fi généreux, que le
plus courtferoit de paffer condamnation rout
d'un coup.
Je l'ai exhortéeane ríen craindreen effet,
lorfqu'elle avoir pour partie le meilleur de
tous les freres.
Elle a pris alors affez de courage pour
fe
tourner vers lui,
&
pour luí demander
quelles étoient done ces accufations. Mais
ne difiez-vous pas, a-r-elle ajouré avec un
fourire forcé, que vous ne pouvez écre tout