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comme

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le froid ayoit augmenté, d'en par-'

ler.

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ont tou!fé pL1íieurs fois , en fe regar-·

d:mt

tour-a-tour : enfi11 ils nous ont entrete–

ñus d'une nouvelle maifon qu'ils ont

fut

ba–

tir

depuis peu en Caermarthen,

&

des meu–

bles qu'ils y ont mis. De-la, ils font paífés

a.

leurs voifms, dont ils nous ont dit beaucoup

de bien;

&

nous fommes a préfenr fort bieQ

foformés du caraétere de fept ou huit hon–

netes gens, dont nous n'avons jamais enten–

du les noms : tour cela , conune vous vous

Fimaginez , pour nous faire comprendre de

quelle diilinétion les Meredith

font

dans le

pays Caermarthen. Le chevalier en a pris oc–

éalion de nous faire le récit d'un enrretien

qu'il eut un jour avec feu milord

Manfell

dans lequel ce brave feigneur le félicita de ,

l'avantage qu'il avoi't de jouir d'un revenu

clair

&

net de trois. rnille livres íl:erLngs , en

belles ter.res,

ea~1s

parler de beaucou¡:>

d.'

argent

comptant, dont le meme feigneur fuppofoit

qu'il emploieroit une partie

a

faire élire fon

neveu membre du parlement pour le comté;

mais il nous a répété auHi la fage réponfe qu'il

fit.

a

ce compliment : que ce n'étoit pas fon

deífein,

&

que .le ¡rout de Ges éleétions ,

qui

ont ruiné quantité de bolines familfes, ne va–

foit pas mieux

a

fon avis que la paffion du jeu.

Ce détail amufant nous ayant conduit fort

loin , le chevalier a cru nous avoir fait pren–

dre une a(fez haute idée de .fes richeífes

&

de

fa

coníidération; il s'eíl: approché de moi,

ápres

avoir .fuir

figne des yeúX

a

M. Fouler·