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D r s s (!) N'.
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parce qu'ils onteux-mémes la.bon.té de s'en
coi1tenter. Ils favent d'ailleurs qu'ils
o b~igentune chere famille, en me dormant l'occaíi.on
de lui rendre me's devoirs.
LE T T RE
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Mifs By
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E Y.
6
J~nvier.
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o u s me dites ,. ma.
ch~re
, que M. Gre'-'
ville fera dans peu de jours
a
Londres; fe n-e
fauroi?
l'
empecher. Vous ajoutez qu'il 'donne
[es
aib.ires pour prétexte ,
&
que fous ce·
.voile il (e propofe de n'etre pa<s ici moins d'un
n10is,
&
d'y
prendre parri aux arnufements;
publics :
fort
bien. Il en efr aifurément le
maiti-e;cependantj'efperequ'ilne me compre:,
ni parmi fes affaires,ni parmi fes
amufements~
A
pres une ou deux vifoes en faveur
du
voi–
Únage , je me propofe
a
mon tour efe ne paS'
fouffor qn'il vienne me tourmenter. Ce qui
eíl: arrivé entre M. Fenwich
&
lni rn.'a
caufé alfez de peine ,
&
ne m'a que trop
expofée. Une femme qui a malheureufemenr
été l'occaíion d'un combat entredeux hom–
mes,doit penfer d'une maniere bien étrange,
guoiqu'elle n'ait rien
a
fe reprqcher ' s'il ne
lui paroit.pas que fes aventures' font trap de
bruit dans le monde. Combien de gens
o~t