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~
grande circonfpeé't:ion, coinme
a
la plus vive
reconnoiífance; la feconde, que ma famille
a rnarqué plus de généroíité en me diípenfant
de la foumiffion , que lorfque
j'
ai accepté
>
ou que j'ai paru_acceprer cette grace.
J'
ajoute
que me trouvant comme livrée a des perfé–
cutions étrangeres ' e'eíl:-a-dire'
a
celles de
pluíieurs perfonnes qui n'ont pas fait infenfi.–
blement connoiífance avecmoi, comme nos
voifms Greville , · Orme
&
Fenwich, je
m'imagine qu'íl
y
a quelqu'apparen·ce de
préfomption
a
faire face aux prémíere:s pro–
pofüions d'une hature íi terrible. Ne
{er~i:t
elle pas terrible en effer, íi le creur
fe
laiíloit
uue
fois
engager.
-
Quemes chers parents mepermettent done
de rn'en rapporrer
a
eux' s'il fe préfenre
quelqu'un pour lequel je n'aie pas tropd'éloi–
gnement.
A
l'égard de M. Fouler
&
dn
Baronner, je
fu.isa
préfent dans la
néceHiré
de terminer
moi-meme avec eux. 11
e.íl: beau-
, coup plus facile
a
une jeune perfon
nede dire
non, que oui. Mais
al'
avenir je n'aurai point
la hardieife de me déterminer fans confeíl.
-
Comme M.
&
Mad. Reves m'ont enn-ao·é
a
leur laiffer lire ce que je vous écris
~
frs
m'accordent toute la liberté dont j'ai befoín
pour cet exercice. Ainfi. vous ferez moins
furprife que je trouve le temps de vous faire
de
íi
longues lettres. Mifs Byron eíl: dans fon
cabinet. Mífs Byron écrit : c'<dl: une excufe
qu'ils croient fuffifante pour tout le
monde,