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-60

H

1 5 T

o

1 R

~

grande circonfpeé't:ion, coinme

a

la plus vive

reconnoiífance; la feconde, que ma famille

a rnarqué plus de généroíité en me diípenfant

de la foumiffion , que lorfque

j'

ai accepté

>

ou que j'ai paru_acceprer cette grace.

J'

ajoute

que me trouvant comme livrée a des perfé–

cutions étrangeres ' e'eíl:-a-dire'

a

celles de

pluíieurs perfonnes qui n'ont pas fait infenfi.–

blement connoiífance avecmoi, comme nos

voifms Greville , · Orme

&

Fenwich, je

m'imagine qu'íl

y

a quelqu'apparen·ce de

préfomption

a

faire face aux prémíere:s pro–

pofüions d'une hature íi terrible. Ne

{er~i:t­

elle pas terrible en effer, íi le creur

fe

laiíloit

uue

fois

engager.

-

Quemes chers parents mepermettent done

de rn'en rapporrer

a

eux' s'il fe préfenre

quelqu'un pour lequel je n'aie pas tropd'éloi–

gnement.

A

l'ég

ard de M. Fouler

&

dn

Baronner, je

fu.is

a

préfent dans la

ceHiré

de terminer

moi-m

eme avec eux. 11

e.íl

: beau-

, coup plus facile

a

une jeune perfon

ne

de dire

non, que oui. Mais

al'

avenir je n'aurai point

la hardieife de me déterminer fans confeíl.

-

Comme M.

&

Mad. Reves m'ont enn-ao·é

a

leur laiffer lire ce que je vous écris

~

frs

m'accordent toute la liberté dont j'ai befoín

pour cet exercice. Ainfi. vous ferez moins

furprife que je trouve le temps de vous faire

de

íi

longues lettres. Mifs Byron eíl: dans fon

cabinet. Mífs Byron écrit : c'<dl: une excufe

qu'ils croient fuffifante pour tout le

monde,