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· Hts'I'otRE
paffé. On éroít prer
.a
s'affeoir , lorfque le
chevalier a prié M. Reves de lui accorder un
moment d'entretien; mais il ne l'a pas pris
Ear le bouton , comrne dans
fa
prerniere vi–
fite. Ils fonr forris en(emble. Mad. Revesa
jugé
a
propos .de fortir au./Ii , par une autre
porte ,
&
je 1ne fuis trouvée fou1e avec M.
F.ouler.
• Nous fomrnes demeurés en filence pen–
danr rrois ou quatre minutes. 11 m'a {emblé
que je ne devois pas ccmmencer. M. Fouler
ne favoit comment le faire.
n
a pris la peine
d'avancer fachaife pres delamienne;enfuite
il
s'efr un peu reculé. Il s'efr rapproché en–
cere:
il
a tiré fes manchettes ,
&
touffé deux
ou trois fois. Enfin
fa
bouche s'efr ouverte,
pour me dire que je ne pouvois manquer de
m"appercevojr de
fa
confufion, .•.• de fon
trou'ble, .... que
fa
confuíion étoit extreme,
&
que tour v.enoit de fon r.efpeél:, de fon
profond refpeél: pour moi.
Ji
a touffé encere
deux fois,
&
fa
bouche s'efr fermée.
Je n'ai pu prendre plaifir
a
jouir de l'em–
harras d'un homme
fi
modefie. Chaque rrait
de fon vifage étoit en travail;{es ma1ns
&
fes
genoux trembloient. O ma cher.e
!
quel ellle
pouvoir de l'amour, íi des agitations fi vio–
lentes fond'effet naturel de cette pa.IIion
!
Moníieur , ai-je répondu ..•
u
Sir Rolancl
vjent de m'apprendre la bonne opinion que
-vous avez de moi. Je vou$ en
fuis
obligée.
J'
ai
dir
a
frr
Roland.... Ah
!
Madernoifelle , a-t-il
,interrompu d'un air plus ferme, ne répétez