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,,.

.

H

I

s

T

-O

I

R.

!

ef

pér~nce

que le temps

&

l~affiduiré

puffenr

chang'er mes di[poíitions , ou íi

l'

on ne pou•

ivoit pas fe promettre

(}Uelqu~

chofe en pro–

'7ince, par

r

entremife de mes plus pro".hes

Jlarents; maisM. Reves lui arépondu qu'apres

la

maniere dont je m 'étois expliquée ,.

&

dans

da

réfolution

ma famille étoit de ne

fe

pas

'l'.lleler de

man

choix

, il c

raignoit

qtt$!

tpuws

l~s

dé.marches n,e

fua

'e.ut

inutiles.

On

me

mena

bier au concert. Je .deis aller

ee

foi~

a

la i:;omédie.

C'efr u

n mouvement

c:¡Úi

ne finir

point~

M.

Foul.er

eíl: venu ce ma–

fin.

J'~tois

en viúte .a

ve.e ma

c:oufine. !La vu.

M.

Reves

>

fy:

dans u,n. alfez long enrretien ,

il

a

marqu~

íi

peu

d'efp~rance,

que je

me

crois

délivr~e

dy luj ; d aurant plus que

fir

Roland 4oít retourner 4ans quelques jours

en Caermarthep,

I1

efl: v_enu lui-meme

une

heure apres fon neveu.

M.

Reves étoit forti,

&

nous étions ·

remonr~es

en ca¡:oífe , roa

coufine

&

moi,pour aller faire quelques ero·

piettes

a

Lugdatehill.

O¡-i

fe

bate

~e

me

faire

des ropes,

&

tout ce quj m'eíl: néceífaire

pour paroitre aux fpeétacles

&

aux a.ffem•

blées, avec n1iladí \Villia!ns. Je Cuis d'une

folie

achevée

~

mais c'ef}: en parrie

l~

faute de

-ma coufinie. Vous

ttouver~z

ici

d~s

échantil·

)ons de mes éroffes. J'.avois cru qu'en Nor·

• r¡th?Uptonshire , il ne nous manquoit

rien

pout

l~s ¡nod~s

,

i-¡.1aj.~

on

~-ijt ~pan~er rou~~