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l!

je n'étois peut-étre pas exemptede

ce

repra-'

che , mais q_u

e , fans e

n pouvoir donner

de

raifon , on

fe

fento.it

attiré, dégouté...

dé–

gouré

!

Mademoifelle ; dégouré

!

Mifs Byron.

J'ai parlé en général ,Moníieur; je fuis per–

fuadée que de vingt femmes, il

y

en auroit

dix-neuf qui

fe

trouveroient tres-flattées

des

attentions de íir Hargnwe P0llexfen. Mais–

c'eft vous, Mademoifelle, qui étes cette

vingtiemequejefuis forcé d'aimer.Degrace,

donnez-moi quelque raifo11•... Ne m'en

de–

mandez pas, Monfieur, pom; une íingulariré.

N'eres-vous pas vous-meme un peu finguliet

de me faire la vit:igtieme

?

V

otre mérite ,

Mademoifelle.••.

J

e l'ai encore interrompu.

Il

y

auroit de la vanité, Moníieur,

a

me payer

d'une raifon de cette narure... Je vous aipro-

. mis

de

1a

bonn

e fo

i: peur-étrel'ho1m<neaqui

le ciel me deíl:

i.ne,

aura moins de ni.érite

que

v

ous; m

aisdois-jele dire? il conviendra

plus–

ª

rn.on

gour.

Pard~m,

Monfieur; je m"expli–

q

ue

rois moins librement ,

G

l'honneur

me–

perrnertoit de vous renir dans la

mo.indre in–

certitude, lorfque je n'y

fuis

pas

moi-mé.me.

Sa vanité m'a paru bleífée.

Il

con

viendra

plus

a

votre gout! a-t-il répété pluíieurs

fois,.

en jeranr les yeux autour de lui. Et c'eíl: done

férieufement, Mademoifelle, que v:ous

eres

íi

cléterminée.

·

Cui , Monfieur.

Soi1 air eíl: devenu pl"us fombre.Suis-je affez

confondu, a-t-il repris d'un ton alfez bru[que.

l;iais je n'accepte point une réponfe

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