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Vcndredi 30 Février.
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N laquais de M. GreviUe eíl: venu
no~
faire les compliments de fon maítre. 11 elt
done
a
Londres, ce M. Greville. Je fuis trom·
pée, íi je ne
[
uis
biencot en état del'obliger;
c'eíl: ma haine, comme vous favez, qu'il
m'a demandée comme une grace. Je m'ap·
pers:ois qu'on ne
s'
attire que des chagrins, en
rendant des civilirés poar des afteétations
d'efüme. Cependant rnon11amrel
m'y
p0rte,
&
je ne puis m'en défendre, fans me faire une
.efpece deviolence. C'eíl: doncmoinsun mé·
rite qu'une vérírable nécelfüé. Je ne me Fap·
pelle d'avoir manqué de complaifance que
pour w1 jeune homme de qualité, qui, par
des coníidérations de familte, me demandoic
la perrniHion de me rendre [es foins el'l fecrer.
Vous n'avez
p~
ignoré cette aventure. 11 me
íemble qu'en
fe
prétant
a
des traités íi cho–
quants, une fille s'engage dans un complot
contre elle-meme ,
&
plus fouvem encare
contre ceux
a
qui elle doit autant de confiance
que de refpeél:
&
d'honneur.
L'arrivée de M. Greville me chagríne. Je
fuppofequ'ilferabient6tfuivi de M.Fenwich,