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~-2.

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r s

':r

o

1

'rl..

E

J'ai répondu

a

ce fier propos; je fouhaire;

fir Hai.:grave , que vorre fortm1e ferve

a

votre bonheur ; ce qui ne manquera point,

fi

vous

l'

employez a faire du bien; mais., fút–

elle

incornparablement plus grande, cetavan–

tage feul n'a point de charme pour moi; mes

devoin croÍ:troient avec mon pouvoir. Je

ne

jouis pas d'une groífo furtnne; mais le fUt-

, elle beaucoup moins , elle fatisferoit

mon

ambjriou, auililong rernps q_ue je vivrai dans

l'étatoujefuis;

&

íi

je paHe aFétatduma–

riage, -je faurai me reiifenner dans celle de–

l'bomme.que

j'

aurai

choiíi~

Ici

f

air Battem

&

pallionné arepris place

fur l.e vifage

du

Barnnnet ;·

il

a

juré que je

fernis

a

lui,

&

que cha-que m0t

qui

fortoit dt:t

ina bouche ajoutoi

t un nou

veau nreud

a

fa '

cha1ne; mais je

l'

ai

prié.de

finir abfolurnenl'

im

enn::~~ien qu~

je

~epo_uvois plu~

fopl?orrer.

A

c01~drnon ,

111

a-t-íl

d1t, q

ue -Je lu1

per–

mettrois de paro'ltre

quel.qu~

fuis

chez Mad,

Reves~

Sans :mcun rapport

a

moi, ai-j_e réph–

·qué. Vous ne fuirez pas

cln

moins ,

Made~

moifelle, a-t-il repris, vous

ne

refuferez pas

ele me voir. Je vous le dédare,

mi[s

Byron,

vous.avez un aman't de.plus ;je _ne ce!Terai pas

de vous ·pourfuire que vous ne foyez

a

moi'

ou

que je ne vous voie

b.

femme d'un autre."

)la prononcé ces derniers mors

d'un

ton

qui

' m 'a

c.hoquée a:utaut

que

le difcours meme.

lvi:t

répcnfo

S

7

en

efr

reJfe.ntie.: dans une con–

v erfaricin qui a duré trop long-remps , ai-je

dit

d'un air

froid,

je

me félicite

de

i~'avoii