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E
J'ai répondu
a
ce fier propos; je fouhaire;
fir Hai.:grave , que vorre fortm1e ferve
a
votre bonheur ; ce qui ne manquera point,
fi
vous
l'
employez a faire du bien; mais., fút–
elle
incornparablement plus grande, cetavan–
tage feul n'a point de charme pour moi; mes
devoin croÍ:troient avec mon pouvoir. Je
ne
jouis pas d'une groífo furtnne; mais le fUt-
, elle beaucoup moins , elle fatisferoit
mon
ambjriou, auililong rernps q_ue je vivrai dans
l'étatoujefuis;
&
íi
je paHe aFétatduma–
riage, -je faurai me reiifenner dans celle de–
l'bomme.que
j'
aurai
choiíi~
Ici
f
air Battem
&
pallionné arepris place
fur l.e vifage
du
Barnnnet ;·
il
a
juré que je
fernis
a
lui,
&
que cha-que m0t
qui
fortoit dt:t
ina bouche ajoutoi
t un nouveau nreud
a
fa '
cha1ne; mais je
l'
ai
prié.definir abfolurnenl'
im
enn::~~ien qu~
je
~epo_uvois plu~
fopl?orrer.
A
c01~drnon ,
111
a-t-íl
d1t, que -Je lu1
per–
mettrois de paro'ltre
quel.qu~fuis
chez Mad,
Reves~
Sans :mcun rapport
amoi, ai-j_e réph–
·qué. Vous ne fuirez pas
cln
moins ,
Made~
moifelle, a-t-il repris, vous
ne
refuferez pas
ele me voir. Je vous le dédare,
mi[s
Byron,
vous.avez un aman't de.plus ;je _ne ce!Terai pas
de vous ·pourfuire que vous ne foyez
a
moi'
ou
que je ne vous voie
b.
femme d'un autre."
)la prononcé ces derniers mors
d'un
ton
qui
' m 'a
c.hoquée a:utaut
que
le difcours meme.
lvi:t
répcnfo
S
7
en
efr
reJfe.ntie.: dans une con–
v erfaricin qui a duré trop long-remps , ai-je
dit
d'un air
froid,
je
me félicite
de
i~'avoii