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g,
"&
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contraire a tnes efpfaa11ces; vous m'avez
promis de Ia G.ncthité , Mademoifelle, dites–
tnoi du moins
íi
vos affeét:ions font
engagées~
·
dites-moi s'il exiíl:e quelqu'heureux h©nime,,."
a
qui votre cceur ait accordé
la
préférence
~
Je lui ai répondu que je ne lui cormoil.fois–
aucun droit pour me faire cette queíl:ion.
n
a continué:
permetre~
,.MademoifeUe ,,que je
m'explique davantage: jeconnois M.Fenwich
&
M..
Greville ; ils m'ont avoué tous deme;
quevous neleur avezd'onné aucune
efpérance~
Cependa11t ils déclarent qu'ils ne l onr pas
perdue. Dires,Mademoifelle, leur avez-vous;
parlé auili nettement qu'a_moi?
Hé bien, MonG.eur, je vous aifute que
j~
leur ai fait les memes réponfes.
Et M. Orrne, Mad'emoifelle
?
Je le regarde, Moníí.eur, comme um.
efe~
meilleurs.ca:ralteres cdu monde.
Ah t Mad.emoifelle, que ne me dües-vous
do
ne quevous eres engagée
?
Qua.ne!: je le [erois, MonG.eur, peut-€tre
t:e
t aveune ferviroit de rien..
·
Ne vous fei;viroit de rien
~
s'eft-il écrié for'lt
vivemenr; en vth-iré , d iere mifs Byron•.•
J'
ai
de l'orgueil, Mademoifelle: G. je n'en avois
poinr, jen'afpireroispasa vorre favenr. Ma.B
permetrez-moi de dire que ma forrnne,
m::r–
naiífance
&
mon arde11teaffeét:ion n'0Ntl'ien
qui foit indigne de vous: c'eíl: du moins le.
jugement que votre famille en portera>
G.
v~us
me
faires l'hotineur de co11fenti> que
j.~
lui
fatfe
l'
ouve.m.uede
mes
fenriments~
iJ
j