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tant de pouvoir de me rendre heureufe,
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eut le malheur d'e!foyer d'es refus. Son ref–
fentiment s'eíl: tourné contr,e M ..Orme,. qui>
eíl:,
qit-il, lerival, favG>rifé, íi quelqu'unl'eff
i·éellemenr; cai:
il
croit avoiF reconnu que ce
n'efl: ni Greville, ni Fenwich.
11
a confelfé'
quema fierré
l'
avoirpiqué jufqu'au vif; enfin:
il
a prié Mad.Reves de me fuire appeller en
fon
llOLTI
:.mais rhumeur
OU
elle le voyoit,
ne
la
difpofant point
a
lui a:ccorder cetre faveur;
íl
m 'a
fait prier
lui-m~me
de defcendre.J'ai
répondu
~ivilementque
j'étois occupée
a
vous
écrire,
&
que j'efpérois que
fu:
Hargrave>
mo.n couíin
&
ma coufine auroienr la bonté
d.'
agréer cerre excufe. J'
ai
nomméM.& Mad:..
Reyes ponr adoucir mon refus. Cetteréponfo·
n'a faitqu'irriter
fa
bile_lla demandé pardon
~
madame Reves; mais il a proteíl:é qu'il s'at–
'(acheroit
a
:r.n.espas cornme une ombré,
&
qu'en déph:
de la rerre
&
des enfers, je (eroi!¡
miladi Pollexfen•.
11
eíl:· forti dans cette cha,,.
leur, les yeux roulants
&
le vifage enflammé.
Ne vous fernhle - t - il pas , ma chere
1
cqu'étant comme je fuis, fous
la
garde
de:
m.onco.ufm Reves, il a pris cette aventure
~vecun peu rrop de patience colans
fa
propre
maifon? C'dl: peur-erre cette raifou 1neme.
~ui
!'a
i:e11du
fi
rranquille. Nous le connoif–
.ions poc r un des meilleurshommes du mon–
de.. Et l'écl
at dehuir on dix mille livreg
{l;erlii:igs
de
re.me.... Cepeudanr, av-ec
un~
fcr~trne
auff
i indépe.ndanre qµe la fienne.....
~a,i.5
la
g_-i;aud.eur a
touj,ours_(es cliarrnes.