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~1.

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5

't'

o

1

ll

J!

Mademoifelle , que la force de ma paliion.:;

mais je vous compare ..••• -'• ••

Je

l'ai arreté

encore une

fois,

en

l'a!furant que tour étoit

oublié. Tandis qu'il fe plaignoit de ma faci–

lité

a

lui pardonner,

íir

Roland, furpris

de

ce petit dialogue ,, a

dit

a

M.

Reves, je

ne

rn'

en étonne plus; hélas

!

que va devenir mon

cher neveu? Soyez tranquille de ce c8ré-la,

lui a répondu

M.

Reves. Cene a!furance lui

a:

faic reprendre un air íi gai, que je l'ai cru

prer a

fredonner en

fe

rournant vers moi. Les.

gens font emrés la de!fus avec le déjeíiner,

&

nous nous étions déja placés peur le

thé;

mais on efl: venu appeller

M.

Reves

>

qui

eíl:

renrré prefqu'au1Iit8t, en inrroduifanr

M.

Greville.

Av~mt

qu'ils aient pu s'appro–

cher:

&

qui eíl: encore celui-á,

m

a demandé

fir

Roland, d'un ton un peu gaulois ?

M.

Greville s'eíl: préfenré

forr

civilemenr.

Je me fuis informée

de

tour

ce

que

j'ai

de

cher dans Nortampronshire.

A

pres avoir faris·

fait mon impatience, il m'a demandéíi

j'

avois

vu

M. F

enwich. Non, lui ai-je

di

t.

Le rraítre

L

a-t-il repris en fouriant,

j'ai cm qu

'ilrn'avoit

donné le change. Je l"ai perdu.de vue depuis

trois jours: mais s'il n'eíl: pas

ici,

a+il ajouté.

d'une voix plus ba!fe, j'ai gagné une marche

fur lui :

&

j'aime mienx, apres tour , que ce

foit moi que lui, qui ait d'es excufes

a

faire

a

l'autre. Je

me

Cuis

difpenfée d'entrer

dans

leur démelé, en lui apprenant que j'avois

trouvé un pere a Londres,

&

lui montranr

le chevalier Meredith;)

qui me

permettoit df