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J!

océufée que de certe affreufe

lettrc de Bá–

genhall,dont j'avois le creuroppreífé.Comme

fe

ne p'ouvois erre sílre

que-fa

Charles n'eut

pas de forres r:iifons pour cacher cette affaire

a

fes

fa:urs, je ne voulois pas en parler ou–

vertement;

&

j'aurois fou)1airé néamnoins

cf

apprcndre

quelqu

e chofe·qni put aider

a

1ne c2lmer l'

efor.it,

en l'ui hiífant

la

liberté

de s'ouvrir

a fes d

eux famrs, lorfqu'íl le

jugercit

a

prepos. Dans 1embarras

ou

j'

étois

pour cc.mmencer,

j'

ai demandé

a

miladi

íi

ce

n'étoir

pnsfamedi dcrnier

ou'

elle étoit arrivée

gu cháteau de Colnebrokc', ce.tte

m:üfon

qui·

me feroit roujours chere, pour

m'

avoir

f

ervi

d'a!ile? Elle m'a répcndu que c'étoit cejour-

12,

&

qu'clle enaimeroitmieux unedemeure

~t't

favois trouvé la fin de mes peines. Je

foppo{e, Mefdarnes

~

ai-ie repris avec .aífez

peri de liaifon, que vous avez entendu pader

d'uóe Iettre écrite

a

íir

Charles...

par oe

mallieureux

\.Vilfon...

Oui

,

m'a dit la

com–

teffe-,

&

ma joie

efl:

extreme de veir cet

affreu

x complot heureufementéve11té. Quel–

qt.es

termes de

la

fettre, ai-je ajouré,

m'

ont

la

ifféde

l'inqniétude. Que portoient-ils?

m'a

demandé vivemt:nt mifs Grandiífon. lls por–

roient, M::demoifeJle , qu<1

Gr

Hargrave ne

refi)ire que vengeance.Mon frere ne ríous en

a

rien dit, a répliqué

la

comt~ífe;

mais il n'eíl:

ras vraifemblahJe qn 'un bomme, hurnilié

de

~Gn

aventure, écoute be:mcoup (es re!Ien–

timenrs. On nous a dit au contraire que la

confufion, ou h mabdie, le retient

furtpnifi–

blement dans

fa

chambre.