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7

e;

.

HrsToíR'E .

tinué en élevantla voix, vous m'expliquereir'

apparemment cette énigme.

Charmantevivacité de mifs Grandiffon,

ai–

je <lit en moi-ú1eme, vous ne vous contien-

drez pas long-temps.

·

Elle

a:

repris ma main ,

~

me conduifant

fur

un

fauteuil, elle.$'

efl:

placée pres de moi,

fon éveritail dans

1'

aurre main. Je veux favoir

le fond, a-t-elle recommencé,

&

me voyant

faire un effort pour fourire, elle m'a déclaré

que je ne lui en impoferois point parde fauífes

apparences.

J'

ai

f

oupiré. Fort bien, m'a-t-elle

dit; mais d'ou vient ceprofondfoupir

!

Notre

graHd'maman _Sherley

?•••

Elle eíl: en parfaite

fanté ,

Mademoifelle•

. Et notre tante., notre onde

Selby;

notre

confine Lucie

?

Ils

fe

portent bien. ·

. Quelle mouche a done

piqué

cette chere

filie? Quelqu'un-Oe fes efclaves s'eíl:-il poi–

g nardé

?

Efr-elle fachée de n,.etre pas délivrée

fi

heureufement des autres

?

Mais ces obfcu–

.rités ne tarderont point

a

s'éclaircir. La com·

teffe , s'approcnant de moi , lui a fait un

reproche de l'embarras qu'elle me caufoit

'par fes iníl:ances, en l'accufant

fort

agréa~

blement-d'un

exces~e

vivaciré, quefir

Charle~

foul, a-t-elle dit,

~toit

capable de tempérer.

'J'ai

répondu qu'on ne pouvoit reprocher

a

mifs Grandiffon que des exces ae honré.

Mad. Reves- m'a foulagée fort

a

.propos•

.Elle a.parlé .del'inquiétude que

fir

Hargrave

Pollexfei1 n'avoit pas ceífé de nous cauíer.