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e;
.
HrsToíR'E .
tinué en élevantla voix, vous m'expliquereir'
apparemment cette énigme.
Charmantevivacité de mifs Grandiffon,
ai–
je <lit en moi-ú1eme, vous ne vous contien-
drez pas long-temps.
·
Elle
a:
repris ma main ,
~
me conduifant
fur
un
fauteuil, elle.$'
efl:
placée pres de moi,
fon éveritail dans
1'
aurre main. Je veux favoir
le fond, a-t-elle recommencé,
&
me voyant
faire un effort pour fourire, elle m'a déclaré
que je ne lui en impoferois point parde fauífes
apparences.
J'
ai
f
oupiré. Fort bien, m'a-t-elle
dit; mais d'ou vient ceprofondfoupir
!
Notre
graHd'maman _Sherley
?•••
Elle eíl: en parfaite
fanté ,
Mademoifelle•
. Et notre tante., notre onde
Selby;
notre
confine Lucie
?
Ils
fe
portent bien. ·
. Quelle mouche a done
piqué
cette chere
filie? Quelqu'un-Oe fes efclaves s'eíl:-il poi–
g nardé
?
Efr-elle fachée de n,.etre pas délivrée
fi
heureufement des autres
?
Mais ces obfcu–
.rités ne tarderont point
a
s'éclaircir. La com·
teffe , s'approcnant de moi , lui a fait un
reproche de l'embarras qu'elle me caufoit
'par fes iníl:ances, en l'accufant
fort
agréa~
blement-d'un
exces~e
vivaciré, quefir
Charle~
foul, a-t-elle dit,
~toit
capable de tempérer.
'J'ai
répondu qu'on ne pouvoit reprocher
a
mifs Grandiffon que des exces ae honré.
Mad. Reves- m'a foulagée fort
a
.propos•
.Elle a.parlé .del'inquiétude que
fir
Hargrave
Pollexfei1 n'avoit pas ceífé de nous cauíer.