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obftacle que
j'
ai
mis
a
leur attentan
Per·
fonne, M. Jieves, n'aui:oit plus d'empreífe>–
mept que rhoi
a
fair~
des excµfes, je di3
a
mes inférieurs mémes'
íi
j'
avois eu le
mal·
heur d'oublier rnon ¡;levoir.; mais toutes
le~
puiifances du monde ne me feroient pas défar-
vouer une aébion juíl:e.
'
' M.
Reves lui
a1·
demandé nettement,
íi
13agenhall lui avoit remis une lettre,
&
fi
fa
Hargrave lui avoit fait un appel.
I1
areconnu
l'un
&
l'aun;e;.& qn'ayant remis
fa
répónfe
au lundi fuiv'!-nt, parce qu'il n'avoitpasjugé
qt!e cene aftaire rnfrirat d'interrompre un
1Y.01nent
le plaífir
qu'il fe proi.nettoit d'em'–
braífer
wJe
ía:ur
fort
chere
&
fon-
mari,
il
l'
avoit envoyée ce mati.R.
Vous l'avez envoy&e, lui a dit
M.
Reve.s=!
Qae
j'appréhende, Monfiemr
!....
Il
a
protefü~
a
M.
Reves, qu'il ne devoit
tien appréfaender. Cependant
il
l'a.
prié de
n'
en ríen appremlre
a
[es.freurs
&·a
milord
L..•
parce qu'il ne vouloir poiroit qu'uve affaire,
qúi ne lui donnoit
pas
la moindre inquiérude,
causat..des alarmes
&
despeinesinuriles
a
des
perfonnes dom le bonheur fiufoit
fon
étud'e.
Je ne puis
fouffrir,
a-t-il ajouté, qu'il
man–
que
quelque
€hofe
a
la-
fatisfaého1:i
de me¡·
amis.
.
Mais avez-vous accepté
l'
appd , lui a de·
mandé
M.
Reves?
JI
a répondu qu'ií ne s'étoit vu que trop
fouvent engagé dans des affaires de cette
na.~
nue; qu'iln'avoit j;:i.111ais
tiFél'épée que po\jJ: