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s

T

o r

R

e -

·

ga.ires? Cornbien ne connoiffons-n0us

pas de

f.im.iHes ,

ou

le deuil rég11era éternellement

¡)Qur la ,pene d'un pere, d'w1 fils, d'un

:&ere, enlevés par cette monfuueuíe maniei

U_n. homme

qui

en appelle un _autre ,

&

.GtÜ

1'

engage dans un combat Gngulier, doi't

;;ivoir commencé par défier fon Dieu.

A+il

~'autre

efpoir que d'etre un

~eqrtrier,

&

de caufer un tort irréparable-

a

toute

un~

famille innocente? Mais puifque vous m'

avez

~onduit

G.

loin , par

l'

étrange lettre que vous

m'

avez fai_tlire, je vous communiquerai

auffi

f:elle de

fo:

Hargrave :

la

voici.

ce

Je l

oue

' ·"lVoníieur' la généroíité

qui

,, vous a

fa.ir

laiffer votre nom. Mes coquins

,, étoient

trop

loin de leur maitre,po11r reinar·

" quer, aux apparences ordinaires,

qui

pou,.

J>

voit etre l'e1memi quiattaqu.oitfw:legr:md

" ·chemin un homme innocent:

innoc€nt,d~

" moins par rapport

a

vous.

Il

ei1 évident

" que

VOUS VO\!l.S

etes attendu

a

recevoir·

de

mes nouvelles ;

&

vous en auriez eu plutot

" fi

les effets de la cruelle forprife d011t vou$

avez

[u

tirer avantage ne m'avoient oté

juf–

"

qu'aujo

urd'hui la libertédequitterma cham·

"

bre.Je

demande de vousla fatisfaél:iondue

a

"

un hom

me d'honneur.Choiíiffez le ternps3

" p.ourvu qu'il n'aille

pas

plus loin que mer–

" credi prochain. Ce'délai doit fuffire poqf

arr:mger vos affaires; mais le plucot

fora

" le

mieux. Le líeu , s'il vous convient.,

,, [era

les carrieres de Keníington.

J'

aural

?J

.<leux piíl:olets " dont je vous la;iifepú)e