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r s so
N.
1i
toure
la
nuit )
&
je les
croi-s
enflés
a
force
de
pleurer.
M.
Reves s'eíl: détenniné
a
ne .
pas
faire
un
pas,
avant
l'e
reto-q•t de
íir "
Charles·ou de mifs Grandií'fon ; c'eíl:-a-dire
>
fans avoir confulté l'un ou l'aut-re; c€pen–
dant·il a pris des mefures certaines, pour
erre informé de tcus les mouvemenrs de cet
odieux Hargrave. On nous aífure que dans
l'.aventure de ma délivrance,
il
a .perdu trois
de
fes plus beJles denrs. Dieu
!
ma chere,
quelle mortification pqur un homme
fi
vain
de
fa
figure
t
Jug~z
de fe,s emportements.
M.
Reves fera mfonn·e au!Ii du retour de
fir
Charles, au moment de
fon
arri:vée.
011
lui
a
dit a l'oreille que
fu·
Hargrave eíl: en–
fermé fans ce'ffe avec
un
maítre
d'
armes.
·O
ma chere
!
cene circo11france me met hors
de
rnoi
.
.
Jemefuisfo'umiCe aujug;ementdeM.
Re–
ns, qui ,
regarda11t ce Bagenhall comme
un
méch_ant homme, incapable par con{e–
qeent d'avoir éq:it dans de liionnes vues
>
m'
a dit qu'il ne convenoit point de lui ré–
pondre.
J'
étois ·
fort
teJ1tée néanmoins de
prendre
la
plume, mais je ne favois que
pro~
['ofer.
Vo~
fentez-vous difpofée, m'a de–
mandé
M.
Reves,
a
donner quelque ef
pé–
rance au fecréraire de
fir
Hargrave
?
Oh!
11011 ,
non , lui ai-je répondu.
Si
vous e11
étiez capable, a·t-il ajouté , je fuis cerrain
que , malgré la généroiiré de vos
moti&>
voqs vous feriez méprifer
de
íir
Charles
&
.
~e
fa
fceur.
·
Teme IL
D