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T R E X X V I.
· 'I.unJ!i,
'J.7
i'~vrier,
Qu .EL
jour
~o~r ~-X:Pi
que. 1e
jour
d'~ierl
·Lanmt
n'a pas ete.mom.s ternble. :Niespneres
:pe font point
écout~es
du ciel, puifqu'elks
ne
me
donnent point la c01iflai1ce qui devoit
lesaccompagn ~¡:-.
Qu_e j'érois heµreufe avant
rnon voy.age de Londres!Je ne puis
~crirer
Je
fiiis incapable
d,'
ap_plicat~on.
M.
Reves
v~nt
d'
apprendre que
fir
ch~
de$'
~nilo¡:d
L...
&
les deux freurs arrivereí1t 'hier
fo
rt tard.
O
s;here Lucie
.!
quelle
(~ra
Ja
fi?-
dn
JO.urm\
nous fommes
?
•
·
,
Je re<¡óis unbillet'de inits
GrandiTcii-i,
qui
me demande
a
déjeuner 'avec
la
comteífe
fa
· fo:m.
C'eil:, dit-eUe, une réfoJutiop (ubire
~
fans quo'i elle m'en
~nrpit
fa
it av\'.!rtÍr- biefau
foir, quelque tardqu'il
ffir ~
leuranivée.El)e
badine
fr
l'~9éreme-:nr
fur
l'
imparjence quia
fa
freur de me voir, qu'il n'eil:
pas yráifemblapl~
qu'
aucunedes dyu?',ait
~a
i
poin?re connoiffai;i·
cedu terrible
fu
jet de mes
craintes.Qu\!llejo1~
-Ferre vifite ne
m'
auroír-elle p¡is caufée
dan~
ury
¡au~re
temrs? Elle ne me dopne aujourd
hu•
q,u'un plaH1r mélai1colique, tel que le reífenri·
~·pjem
lp
rriftes
~pµs
d\1.¡¡
,Jnalade
~éfef\~r~,