HEV. G:R.ANDISS6N.
7f
en
vova.ntarriver un médecin qu'ils au,roient
lo
ng-temps atrendu,
&
dont le fecours ne
leur prómettoit que des foulagements fort
incertains.Maisj'entends un carroífe alaporte.
J'ai couru
a
la prerniere fenetre qui donne
fur
la rue. O ma chere
!
c'eíl: un
c~rrnífe.
Mais je n'y ai vu que deqx <lames. Bon Dieu
!
·A ce
mom~1t
peut-eu-e
Gr
Charles... Mon
cccur m'annonce..•
Je rentre dans mon cabínet, aveé un peu
¡:ilus de tranquillité, quoiqu'elle ne foit pas
fans un melange de crainte. Vous allez lire un
détail de tour ce qui s'eil: paffé dails l'efpacé
de trois heures.
J'
érois defcendue dansl.a grande folle,av¡mt
que les
d~unes
fuífenr entrées. M. Reves, qui ·
eíl: allé {es recevoir jufqu'a leur carroífe, a
d.onné la main
a
la
comteífe. Mifs Grandiffon,
del'airle plusenjoué, adit d'abord
a
fa
freur
r
commencez
~
s'il vons
rlait ,
par faire
con~
noiffance avec norre confine Reves. La com–
teife,
apr~s
avoir folu.é Mad. Reves , s'eft
tournée vers moi! La.. voila; e'eíl: elle, a repris
mifsGrandiffon; voila norre Henriette,Mibdi
m'a faluée. Mais qnoi
!
s'eíl: écrié
fa
(reur,
en attachanr les yeux fur m '.>i ; quoí done,.
chere Henriette? Pardon , Miladi , a t-elle
ajouté en m.e prenant pai:
la
main , il faut
que je compre un peu avec cette chere fille;
Elle m'
am~.née
vers une fener-re; que vois-je?
nú-t-elle dit. Que íignifient ces yeux
?
M.
&.
Mad. Reves, mes chers coulins, a-r-elle
con~
\
D
l.