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1naisvous m'encouragerezpar vos ouvertureü
Nous ferons·paífer en revue tous nos miféra;,.
bles, l'un
apresl'autre,
&
nous leur ordon'-
.
nerons de
no.uslaiífer tranquilles, jufqu'a..
ce qu'il no
us plaife de les rappeller en t:iotre
mémoire.
·
Mais je n'en
a'i
pas un feul, lui dis-je
>
auquel je veuille accorder ce titre. Je les
<.lÍ
congédi:~s
tous.
J'en ai deux aél:uellement, reprit-elle, que
je ne défavoue·pas,
&
qui ne veulent ,pa5
erre congédiés: je ne comprepoint une demi–
douzaines d'autres, qui me difent quelquefois
beaucoup
d'_ex~ravagances,
&
qui doivent
erre regardés comme des amahts d'habitude,
avec lefquels on
fe
fait un amufement d'etre
un peu coquette.
-
Oh! lui dis-je, je ne foupc¡:onne point mifs
Gra!!diífon de coquetterie.
Elle ·me répondit que je lui ferois tort
de
lui en croire beaucoup, mais qu'elle ne
fe
défendoit _pas d'en avo
ir
UlliJeu dans
1'
occa–
fion, ne fUt-ce que pour payer les hommes
d'une monnoie qui leur eíl: fi familiere.
Charmante vivaciré ! lui dis-je, je fuis
perdue fi vous ceifez de m'aimer.
Soyez la-deífus fans crainte, répliqua-t-elle.
Je me donne pour une créature fon,bizarre;
mais le foleil n'eíl: pas plus coilíl:ant dans
fa
courfe, que je le fuis dans mes amitiés ,
&
nos comniunications mutuelles nous attache–
ront extremement l'une al'autre, [¡vous ban–
Jllifez la ré(erve avec
mo~.
Elle
fe
levoit
fort
'
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G