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~4

H

r ·s

T

o

1

E

bliffement de ma fanté. Cependant

il

in•i

propofé une liaifon de &ere

&

de freur

j

depuisque

j'

ai commencé

a

¡netrouver mieux.

C'

étoit aller plus loin qu'.il ne convenoit, s'il

avoit deífein de renoricer !i-tot au

carall:et~

fraternel.

Mais ne Ceroit-ce pasma prnpre conduite

>

qui lui caufe quelque

alarme~

Modeíl:e,

géne'

reux. oomme i·l' eíl:, la compaffion ell:_peutz.

étre ici fon tnotif. Ma

timide.reconnoiiffanc~

quime fait qu

elquefois baiíf~

r

les yeuxdevant

.Jui,& dontil

nediilingue.pa

:s aífezlanature,

lui fait peut-e

tre appréhend

er que je ne

g_tof·

fi.ífe

le nombre de ces femmes dont

fa

íamr

Pit

qu'il fera des ma1heureufes, s'il prend le

pani de fe mariei;. Dans cette foppoíition ,

ma chere, vorre Henriette fer

oit

bien cou-'

pable,

G.

l'exempfe d'aurrui

ne

l.ui

'

::tpprenoi~

pasa s'armér

d'~n

peu de préca

urio

11. Apres

rout

>

leS! hbmmes, en généfat;

do~veJ1t;avbil!

une

étran'ge iélée"de notre,creur, lorfqu'ilsfo

croient compofé de matéri<tllx, !i combu!l:i–

bles

!

La moindre·érincelle foffi.t , darts leurs

idées..... Mais , en vérité , le meilleur des

hmnmes,. cet admirable chevalie.i: , fe trou.J

vera:

forc

trornpé,úlaceneopinio}1 de

votr~

Hent>iette~

-

· Qu'aHe dorrc? qual1df)r p€nfe:

&

pCimrJ

quoi

me vanter comme je fais

?

Aífurément!

l'hór~ib!e

entreprife dé

fü~Har

~ra.ve

n'a point

affeél:é ma tete.

n

me femble

néanm

oins que

je ne

f

uis point

d~ns

ma' füuation ordinaire.

J'

ai

qi..

elq__ue c¿hofe

.siui

m.'

ét91:u:1e

da11¡$ la.

tetf