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T
o
1
E
bliffement de ma fanté. Cependant
il
in•i
propofé une liaifon de &ere
&
de freur
j
depuisque
j'
ai commencé
a
¡netrouver mieux.
C'
étoit aller plus loin qu'.il ne convenoit, s'il
avoit deífein de renoricer !i-tot au
carall:et~
fraternel.
Mais ne Ceroit-ce pasma prnpre conduite
>
qui lui caufe quelque
alarme~
Modeíl:e,
géne'
reux. oomme i·l' eíl:, la compaffion ell:_peutz.
étre ici fon tnotif. Ma
timide.reconnoiiffanc~
quime fait qu
elquefois baiíf~r
les yeuxdevant
.Jui,& dontil
nediilingue.pa:s aífezlanature,
lui fait peut-e
tre appréhender que je ne
g_tof·
fi.ífe
le nombre de ces femmes dont
fa
íamr
Pit
qu'il fera des ma1heureufes, s'il prend le
pani de fe mariei;. Dans cette foppoíition ,
ma chere, vorre Henriette fer
oitbien cou-'
pable,
G.
l'exempfe d'aurrui
ne
l.ui'
::tpprenoi~
pasa s'armér
d'~n
peu de préca
urio11. Apres
rout
>
leS! hbmmes, en généfat;
do~veJ1t;avbil!
une
étran'ge iélée"de notre,creur, lorfqu'ilsfo
croient compofé de matéri<tllx, !i combu!l:i–
bles
!
La moindre·érincelle foffi.t , darts leurs
idées..... Mais , en vérité , le meilleur des
hmnmes,. cet admirable chevalie.i: , fe trou.J
vera:
forc
trornpé,úlaceneopinio}1 de
votr~
Hent>iette~
-
· Qu'aHe dorrc? qual1df)r p€nfe:
&
pCimrJ
quoi
me vanter comme je fais
?
Aífurément!
l'hór~ib!e
entreprife dé
fü~Har
~ra.ven'a point
affeél:é ma tete.
n
me femble
néanmoins que
je ne
f
uis point
d~ns
ma' füuation ordinaire.
J'
ai
qi..
elq__ue c¿hofe
.siui
m.'
ét91:u:1e
da11¡$ la.
tetf