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I
R.
lt
.vi~ement po~.~ortir;
lil:ais je la priai du
fup-–
.pnmer la momede fesv1fites, pour me re1úr
.compagnie
1:111
peu plus long-temps. Elle
y
confentit, a condition que je ferois done
appeller M.
&
Mad. Reves, qui ne pouvoient
ignorer qu'elle étoit depuis un quart d'heure
avec moi.
~
lis vinrent au .pi;emieF mor•.La
conver~
fation tomba bientot for
fu-
Charles. Je lui de–
mandai
fi
fon frete <l_VOÍt qnelqu€S parents
a
Cantorbery. C'eíl: ce que }'ignore, me répon·
dit-elle ; mais je fuis sure de n•y en avoir au–
cun. Ne vous ai-je pas déja fait encendre que
fir Charles a fes Cecrets.-
Elle me dit qu'elle efpéroit de nous avoir
bientot
a
diner dans leur maifoH de Saint–
James-Squarre; mais qu'il falloir qu'elle
fixac
auparavant fon
fi;:ere~
Pour vous
&
rnoi,
ajouta-t-elle, je compre, ma chere, qu'om
nous trouvera fouve1n eBfemble, dans vocre
cabinet ou dans le mien,
&
fo
levant avec
précipitation: adieu, adieu, mes charmants
amis , nous <lit-elle
a
tous trois, en
{e
tour:–
nant vers chacun de nous l'uu aprcs
l'
autre;
i1ous nous ven;ons Cansdoute auJ..lifouventque
nous le pourrons,
&
fans cérfanomie.
Souv~
nez-vous que nous nous aimons depuis cent
ans. La-deffus e1le eíl: fortie avec la
méme
vivacité, aprt:s m'avoir défendu de faire
Ufil
pas pourla fuivre. Mad. Reves n'a pu la join–
dre,
&
M. Reves n'a pas eu peu de peine.a
defcendre auffi légérement
qu'elle.Elleéto~t
.dans fon carrof{e, avant qu'i1
put
lui
<;>ffililí