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H
1
s
T
o
Í
1l
!
d'une partie des miens;
&
fon frera
a!fure;
me ,fü-elle, que le.$ fecrets du ca:ur fom le
,ei.ment de
r
amitié entre les jeunes
filies.
Comment? i.nterrompi.s-je,
fir
Charles....
Oui , oui
>
repri.t-elle,
fir
Charles lui-meme.
Croye
z vous qu'unhomme pui.lfe juger dela
)1ature
humai.ne, fans y comprendreles
fein–
mes?B
on, machen~,fir
Charlesnouspénetre
da.nsune minute. Preµéz garde
a
vous~
ohere
Hemiette,
(i.....
/
Je le redouteraj,
donér,,
rjnterrompis -
je
encore.
.
Pourquoi ? me dit-elle ,
ú
vous avez
la
confciencebonne.Enmefaifantcette réponfe,
elle me regarda d'ppa:il
fi
fixe , qu'elle me
.fit.roug~r.
Elle me
regar~a plu~
fixement en·
core,
&
je ro4g1s funs dqute encere plus.
Ne
vous ai-je
pis
dit
~e~
ere Luqe;gµ'e,lle
fait
teut
ce
qu'
elle
veu~
de
1
ies yeux.?
Ma\~ qu~lle
peµt
avoir été fon
~dée?
·
1
En confcience, machere Henriette, reprit
4
elle, je croi.s que toutes les femmes font
un
peu coqnines dans le ccrur.
Eft-ce
lt¡
ié¡noi.gnagede'fapropreconfcience
qui
fait parle.i;,mifs Grandiífop
?
'Je le crois >me dit-el}e. Mais
il
faut
partir~
J'ai dix viíires
a
fairé a.yant l'heure de diner.
Vous me ferez tome l'hilloire de vos amants;
entendez-vous
?
Vous me ferez done auffi, répondis-je;
püíl:oir.e de cene f
eu~e
affaire que
fo:
Charles
1gr;or
e.e
e_n
'e.íl:
pas
~ne
chofe aifée,
répliqua-t-elle~