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de Février.

JE

n'

ai

guere tnains

ci'

une fomaine

a

repren:

dre, ma chere Lucie , pour me mettre aú

«:ourarir. L'hifroire de madifgrace, le p,ortrait

de mes libérareurs ,

&

tous les détails que

vous avez exigés , ont occupé prefque uni–

quement ma plume. Ainíi je vous dois un

petit journal de cette femaine , ou je ne fop–

primerai que ce que vous favez

déja

par les

lettres de M. Reves.

Apres avoir été ramenée paiíib1etnent par

fu

Charles &mifsGrandiífon ,queM. Reves

.eutle chagrín de nepouvoir rerenir

a

d1ner

~

un refre de foibleJfo m'obligea de prendre

un peu de repos. Mais

a

l'heure du thé , le

nom de

iir

Roland Meredirh , qu'on vint

m'annoncer, me

fit

retrouver auflitot la force

de defcendre. On avoit dit

a

ce bon che–

valier , les rrois jours précédents , que je

m'étois un peu fatiguée .au bal , & qu'on

m'avoit menéepourquelquesjours

a

lacam–

pa_gne.

Fatigule.,

ma chere, je l'avois éré

aífurément. J'avoisété

menle

aulli,& menée

dans toures les formes ; vous le favez. Sir

Roland s'apperc;ur , au changement de mon

vifagt: ,

que

m.'\

fanté

devoit avoir un peu

e ;