DU CHEV.
Git.AN"t>t~~ON.
}t
~/;e,
pour chero}ler
dans m;iméinÓitels'il
né
m'étoit i;ien échappé d'indifcli'el! avec-
foñ
frere.
, .
,r
·
• .
t
Au fond, ma ehere, cette.: téJforv·e
pour
upe fceur relle que la íienne ,
~
&
fur des
points qufelle eroirimporta11ts pom::
e~e
de ne
pasignorer ,c'eíl: ce que je ne püts
a~prouvei;
dans
fü
Charlés,. Une .ami.e
!
Nhe
freur
!
Et
pourquoi du (ecret
d'~n
coté.•,, li rfo¡u'il
ü'-f
en a poútt de l\t.utre? Sir Charles
1
apparem–
ment ne fera pasm?insré,fen:époru:
fa
femme~
Cepend:ant le matr1age n ·etl:-il
pa~
le plus haut
degré de l'arnitié humaine
~
Et
-coi1cevez~
vous , ma chere, que la réfei:ve foit
compa~
tible avec
l'
amitié? Sa freur, qui ne lui recon–
noit aucun défa11t ' cherche
a
y
excufer ,
& ·
prétend qu'en tirant d'elle fes fecrets
>il
n~a
point d'autre vue que de
fe
rendre plus Ga–
pable de la fervir, Mais vous •conclurez du
moins de 1noro. obfervation , que, t0ut
arta~
chée que je f'l!lii;
a
fi.r
Charles par le lien
d~
une
immortelle reconnoiífance , je j1:1ge de luí
fans
p~mialité.
11
m'eíl: impoilible' de le trou·
ver excufable) s'jl a, pour
ra
généreufe freur;
une défiance
&
m1e réforve qu'elle n'a• pas
pour
l:.ii.
Dans le commerce que je me fl.atte
ele cominuer av..ec des amis
fi.
dignes de mon
attachement·, du moins
fi.
leur bonté ne f
~
refroidit pas pour ceuxqu'ils ont comblés de
bienfaits, je veillerai· de prt:s fur toute la
conduite de cet homme extraordinaire, avec
l'efpérance néanmoins de le. trouver auili
parfait qu'on le publie ,
&
dans la vue d'en
e
i.