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vfai
té'
ma chere '
j'
ai peine encore
a
ne
pat
baiífer
la
vue au fouvenir
de
la
figure que
j'ai
dt'.1
faire en habits de bal, les bras autour du
<;oµ d'un je,une homme... Trouvez-vous rien -
de plus humiliapt que cette idée? Cependant,
ne fuis-je
pas
peut-etre ici dans
k
cas de cene
fauífe honte ,
a
laquelle
fir
Charles
eíl:
ú
íup~rieur?
·
·
Maisje crois avoir quelque·chofea blamer
dans le caraél:ere d'un homme que
fa
freur
croit prefque fans défaut.
C'
eíl: d'apres elle–
meme
que j'ai fait cette remarque. Un jour
qu'elle faifoit gloire d'avoir le cceur fortou–
vert, elle me dit qu'elle regrettoit néanmoins
d'e ne s'erre pas mieux obfervée , dans
une
ocqÚon ot\ fon frere avoit res:u froidement
fes ouvertures. Elle ;¡.jouta que, fans aucune
ap_parence de
~uriofüé
, il avoit
l'
art de
cirer
du camr d'autru.i ce qu'on J?enfoit le mo.ins
a
lui cornmuniquer '
&
qu elle s'étoit a.infi
comme enferrée d'elle·meme, féduite infen·
fiblement
par
un
á).r
de con,1plaifance,
&
par
un
fourire flatteur , avec lequel il
f~mbloir
prendre pla.iíir
a
l'entendre: quedansle petir
chagriú des'
~tre
furprife
elle-me~ne
au milieu
d'un récit qu'dle n'avoit pas eu la µi.oindre
inrention de commencer , elle avoit voulu
elfayer
a
fon tour de
l'
engagel.' ffoemen{
~
s'ouvrir fur quelqi:es pointsqu'ilparoHfoiclut
pcper;
mais qu'aprC:s
y
avoir
epiploy~
route
fon aqreífe , ell;,
ªV:º~t d~fefp~ré
d'y
réui~rr,
Bon
D1~u
!
m
ecna,¡-je,
en regardant
m1(~
Grf'u1c;Uífc.i11~
9µ
fuis.¡e?
~t
;y
m~~r~ta,i ~u.tlh·