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)!

faire barcliment , le fojet" de mes élogd";.

s:;otpme fo1.1

~~ce1le1Jte

freur fera l'objer de

mon admiration. Si

je

remarquois dans

íir

Charles quelques défaurs confidérables, ne

pourez pas que la reconnoiífance neme ren–

dir indulgente ; mais celui que

j'

ai nommé

fuffiroit foul

pour

défendre mon creur ,

fi

je

:m'appercevois jamais que

la

reconnoiífanctl

le m!t en dang&r.

,

. A préfe11t, mon cber onde, n'ai-je pas

'droit

~e

vous clemander un peu de jufrice pom.r

votre niece! Je fuissure

&

tres-sure den'avoir

point encare arpe défier de

tnOlil

creur. Si je

m'apper~ois

qu'il .me trahiífe, j'en avertirai

de bonne foi ma chere Lucie. De grace,

mon onde, ne mefaires done point laguerre

f

ur

~e

fünples conjeétures.

'

Je n'ai pas dit la moitié de ce que je

Jll,

étois proppf

é

fur cet homme , que je no

me laífe point de nommer un homrne exrra–

ordinaire: mais la vive amitié que j'ai pour

fon admirable freur, m'ayant aidé

a

découvrir

en lui quelques défaurs , mon impartialité

µi'

a ment e

{i

loin, que

j'

aurois peine arevenir

fur mes pas. D'ailleurs , cette lettre eíl: déja

fi

longu.e , que je me réduis

a

meler ce qui

me reíle

a

dire dans les autres relations dont

je

I'l.e

ceíf~rai

pas de vous fatiguer,