o u
CH:!
'V.
G·tl
J.
N
·ni'.
s
·so
N.
;f
hion refpeél:
a
Mad. Reves
&
a
notre ·char–
mante pupille : vous voyez que
j'
ai des pré–
.t.entions comme vous, a l'honneur d'une
íi
glorieufe alliance. Je m'imagine que cette
chere Mifs eíl: tout-a-fair rétablie, Croyez–
moi,
Mon.G.eur , v,otre·,
~c.
CH
ARLES
GRAND IS SON. •
LETTRE xx11r.
Mifs
BY
RON,
a
Mifa SEL
BY.
'Veudi:edi,
24 Février.,
M
ONSIEUR
Reves s'dl:
Mr~
de faire
elite
a la freur de ce Wílíón , que fon frere peut
t
ªl?Pliquer a
q~elque·
chofe d'honnete,
fans.
cra.11'1dre le momdre obíl:ade de notre .parr.
On eíl: réfolu ici de
fe
condu,ire par les avis
de nion libérateur. Quelle
lettreque celle
de Wilfon! car
frr
Charle\>
avo.irjoint
l'od–ginal a
Ja
íienne. Quels ho
mmesil y a
da.nsle monde! Nous en avons vu
d~s
exe
mplesdans nos leél:ures, m;Us je ne me ferois pas
cru menacée d'avoír jamais ríen
a
demeler
avec eux.
Nous'fommesplus inquiets que fírCha.rles;
fur 1'aveniffeme1¡t qui regard
e favie.
M~
Reves a
fo ,
de.
dive~~
c8tés?
q.uefu:
Hai:-: