'n
t7
e
a!
V. GRAND
r s so
N;
'H
11 me femble que cette ficheufe aventure
be
<k~it
erre c
ommuniquéea
perfonne,
fat'J.S
une véritable
néceifaé.Qu~(ur-toutM.
Gre–
ville
& -M.
_F
enwick n'en foient point infor- ,
més.
Il n'y a que trop d'apparence qu'ils
chercheroienr fir Hargrave, particuliérement
M.
Greville, ne ftlt-ce que dansla vue de faire
éclaí:er les prétentions qú'il a fµr moi. Je
ferois extrememenr aflligée d'erre
l'
occaíion
de quelque nouvel événement, d'autant plus
que jufqu'apréfent,
j'
ai lieu de croire qu'une
aventure
íi
-choquante ne s'eíl: pas malheu–
reufement terminée. Que
l'
odieux perfort–
nage demeure tranquille
&
content, s'il
le veut, de lui-meme. L'unique fatisfac-' ·
tion que je défire, eíl: de ne le revoir
jamais.
M. Reves vous envoie , fous mon enve-'
loppe , une lettre de mon libérateur , qui
porte fon explication avec elle. Adieu, ma
nes-chere Lucie.