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1!
·
cieu(es faveurs , dans quelque lieu- qu'il
aillo
jamais.
.,__
· Elle m'a
dit
que le
ch~reau
ou
nous étions
1
~pparte;11.0it
au comte de
L.....
qui a époufé
depuis peu
fa
fceur
a1née,
&
qtú eíl:' allé avec·
elle en Ecoffe , ou la plupart de Ieurs terres'
font íiruées; que leur retour n'eíl: pas l!oi–
gné, & ·qu'elle n'eíl:elle-memc
a
Colnebroke
que depuis
trois
jours, poury faire préparei
ce qui
efl:
nlceífaire
a
leur técepüon.
Il
ell:
he ureux pot1r vorre couíine , a-t-eHe ajouté,
que mon frere ait eu la complaifance de
m'y
accompagn
er, & que[es
affaires
l'aiem ap–
pellé hier
a
Lond.res.Ilfe
propofoit de reve–
·:nir anjourd'hui , pour m 'y conduire ce
foir.
Notre famiile eíl:
fort
unie , M . Reves.
La
·rendreífe du fang n'a jarrui& été plus vive
1:ntre un frere
&
des fceurs. Mais pourquor
ce détail
a
préfent
?
J'
efpere que nous nous
connoitrons mieux ,
&
je vous déclare
que
je fois déja charmee
de
mifs ·Byron..
A
pres le déjeÚner, qu'elle
a
précipité pour
m'
obhger , eHe m'a·ccnduit
a
f
apparrement
'iie miíS Byron,
&
m'ayant fair demeurer
a
1a
parre de
fa
chamb1 e, elle
s'
efl: avancée
fort
doucemenr au chever de fon Jir. Elle n'a
faitqn'enrrouvrir Ie ricfeau; rnais j'ai enrendu
auffltot la chere voix de norre couílne. Quel
emb:irras je vous caufe
!
a-r
elle
dit
rendre–
ment
a
G.
bienfaiél:óce. Mifs Grandiífon
l'<t
priée , avec w1e a.imable farniliarité , de ni;
pas lui tenir ce langage. Enfoite elle-
lui
-a
demandé
íi
elle vouloir lui promettre den'
étrll