·!}u CHtv. G:rtÁNnr¿ s
óN.
i¡r
hom
de plufieurs familles
&
au mien, je
n
ai
pu. manquer_ de
lu~
demander
q.u~lqu'infor
mation íur ía bleílure. Il a traite de baga–
telle fon habit percé,
&
la peau de
!'
épaule
?!
peii~e
effieurée. Il a pa{Ie la main fu.r
l'
en–
droit qu'il avoit déíigné, -pour nous marquer
qu'il n'y reíl:oit áucune douleur. Il nous a dit
que
Gr
Hargrave, avoit eu beaucoup de dé–
favant<>ge dins un carroffe; qué fes réBexións,
for l'événement d'hier, luí c;i.ufoient d'au–
tant plus de plaiGr, que s'érarit iñformé de
la fanté de fon adverfaire, il avoit ·appris
qu'on en efpéroit bien, du rnoins s'ii éroit
capabie de fe modérer ; qu'il s'eri réjouiffoic
fincérement ,
&
qu'il ne re pardonneroií: pas
d'·avoir oté la vie
a
quelqu'un dans
la
chaleur
d'une querelle. Enfoite, pour changer de
~ifcours,
il voulut favoir chus quel érar mifs
Byron s'étoit trouvée depuis le jour précé–
dent. Mifs Grandiffon en rendir un compre
exaél:,
&
s'étendit beaucoup for les perfec–
tions de ma confine , que je confirmai
p~
un jufre éloge. Il remercia
[a
G:eur
de fes
foi}1s,, com11;,e
1i
c'eí\.r, été pour lui-meme
qu el1e les eut el.nployes.
-
Nous luí demandames '<tlors quelqu'éclair-·
ciffement fur
la
glorieufe aél:ion qui rendoit
\me
fi.
chere perfonne
a
mille .honnetes gens
donr elle étoit adorée. Je veux le faire parier
lui-meme , en me rappellant fes propres ter–
mes , autant qu'il rne fera po!Iiblc ,
&
je
m'efforcerai de conferver
f
air de fang-froid
~vec
lequel il nous
fi.t
cette agréaple relation.
G
~