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T
o
1 Il
l"..
queíl:ion
a
ma couíine, ai-je
dit
avec
affez
d'
em\:xtrras : la violence de cet.infame auroit–
elle été? .•. Je- voulois dire
~
dans une autre
vue que le mariage ; mais mi(s Grandiffon
m'a
coupé
fo.
voix. Vous ne ferez pas une
quefüon, m'a-t-elle dit, qui .Puiífe faire re–
V
·ivredes fouvenirs défogréab1es. Mi(s Byron
n
'e.íl:-elle pas vivante? N'eíl:-elle pas ici,
&
f
a fanté
prete
a
(e rétablir ? Vous prendrez
parience jufqu'a ce qu'elle foit en état de
vons fa.ire fon récit. Je n'ajoute pas un mor,
.,.:-je répliqué:
e'
eíl: l'ardeur de la vengeance..•
.'.Ma coUfiue a pris la parole :
j'
abéis au mé–
~ecin,
m'a-t-elle .dir; mais
íi
je fuis jamais
<;:tpable de pardonner
a
1
1
auteur de ma dif–
grace , ce ;[era pour m'avoir donné
l'
occaíi<?n
9.e connotrre"m.ifs Grandi!fon , quoique
Les
bontés m'impofent des obligations dont il
tn<::
fern il:npoflible de m'acqu.itter. Elte s'elt
arretée.
J'ai cru trouver
~
dans ,e-e
?-ifcou~s
J
tine heureufe preuve qu elle n avolt pas ere
füen::i.cée-dela derniei:e violence; autrement
elle n'auroit pas fu.ppofé qu'elle put jamais
pardonner a ton ennerni.
Elle a propofé de felever. Mifs
Grandiífon,
lui voyant les yeux plus fereins , a dit qu'elle.
y
confentoit, pourvu que fes forces le
per–
mitfent,
&
qu'il ne
f
eroit pasnéceffairequ
elle
revit fon odieu.x habillement. Je leur
ai
parlé
<lu pone-manteau dont je m 'étois fomni par
les
foi.i ..
1s cle Mad. Reves,
&
je l'ai fuir ap–
porrer auiTirot.
Mais
je
veux
.finu
ici ma
l~tm:e· ~
pour nit