DU
C-Hl\V.-.
GR:AN·Dll)SbN.
lH
pas manquer l'heure de la po!l:e. D'ailleurs
mes fatigues m'obligent de penfer au fom–
meil. 11 ne mereíl:e pour demain qu'une ma"'."
ti
ere agréable,
&
l'
opinion que
j'
ai de votre
~mp~tience,
ltle portera peut-etre
a
la faris;
faire par un expres. Sir Roland vint hier ici
deux fois,
&
s'eíl: préfenté ce matin pour la
troiiieme. Ma femme lui a fait dire que>
pour une affaire imprévue, mifs Byron avoit
eré obligée de fai,re un petit voyage , qui
pe pouvoit dq_rer moins de c!eux ou trois
jours. 11
[e
propofe de retourne.r dans
fa
province
a
la fin de la femaine.
Si
notre chere
mi[s [e
trouve demain un
peu plus rranquille , elle eíl:
~~·folue
de re–
venir lundi ,
&
je lu,i ai promis d'erre le
~atin
a
Colnebroke. Quelle jqie fon arrivéy
va répandre
ici
!
Je n'ai eu juCqu'a préfent, ni le temps
, .
pi l'inclination de penfer
a
l'infame quj nous
a jetés dan§ úne
Ji
mortelle inquiétude.
~=-===~~~=~
LETTRE
XIX.
M.
RE YJ<S'
J
M.
SBZBY.
Vous a,ttend5!z la fuire de mon récit. Mifs
Grandiífon , qui m'avoit engagé a paífer
Qvec elle dans une chambre voiiine., tandis
qu'elle avoit laiífé fes femmes avec rna cou–
líne, m'a guitté apres
lui avoir laiifé le
Jemp~ d~
s'ha!:>iJler. Elle e{\: revenue pre.C-:
~J