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~-It"tV. C:itANDISSO~."
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qui s'oppofeilóit
a
fon paífage. Je
lui
dis
que mes gens éroieht auiii bien armés que les
fiens ; qu'ils m'obéiroient au premier íigne ,
&
que je ne lni confeillois pas de ine metrre
-clans la néceilité de le do1mer. Enfuire 1rt'a–
dre.lfanr
a
la jeune dame ,
te
lui demandaUi
elle étoit téfolue de fe rnettre fous ma pro–
reél:ion. Oh
!
Moníieur ; me dir-elle , 'j'iríto.
plore vorre honré conuúe celle du ciel
.
Je ne balancrai plus
a
.ouvrir la portiere•.
Sir H::irgrave pri
t ce momenr pour m'alonget
un grand coup'
accompagné.depluíieurs in–
jures. J'en avdi
s-·eu quelque défiance ; de
forre qu'érant {ur mes gardes, je n'eus pas
de peine
a
détourner fon épée,. qui ne lairr:-i
poinr de me toucher légeremenrº l'épaule;
j'
avois la. mienne
Ha
mai.n, mais dans le
fout–
reau. La porriere demeuranr ouverte ,
il
eíl:
'VT'<li
que je n'eus pas
la
polireífe de bailfe¡;
la botre du carroffe
1
J
pour aider
Gr
Hargrave
.a
d
efoendre. Je le
foiíi~
au collet, avant qu'il
eur
pu.feremettre du coup qu'il m'avoit pol."–
té;
& parune violente (eoouffe, qu.i:le fit tour–
ner en tombant de
fo voiture, je le placrai aJ!..
foz heurntrfomenr
fo.usla roue de
derrien~'.
Je lúi anacha; fon
épée, que je rompis auffi–
-rot,
&
dom je'jetai les deux pieces par'de[–
fos ma rere. Son, cocher jera un grand cr; ;
mais il fur arreté·par les menaccs du míen.
Son poíl:illon n'étoit qu'un enfant, qu'un dé:
mes gens avoir démonté avant que de joindre
les deux autres , auxquels
j'
avois ordonue
~e
fe
Lwrr,
s'ils pouvoient, des
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