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lo11g-temps du moins que

l'

agreífen~

pai:o!troit tranquille. Les mafcarades , a-r-ü;

ajouté , ne font pas des Leux ot'i il

foit

ho–

norable ,pour une fe:mme de recevoir une

infulte. Le fcandale , a-r-il dit encore , a

· roujours quelque chofe de racheux pour ceux

mémesqui peuvent s'aífurer d'y avoir do1U1é

le mcins d occaíion. Il prérend que

l'

aven–

ture de mifs Byron, racontée fonplemem,

nous laiífera roujours le pouvoir de p

rendre

les mefores qui nous conviendroJlt.

Ain.íi

,

fu·

Charles n'efi pas ami des rnafcarade

s. Pour

moi, je vivrois cent ans, fans erre renté

d'y

retourner.

Toure rnon iwpatience, apréfent, eíl: d'en·

tendre le récir de rnifs Byron. P-laife au

ciel

'qu'i} ne foit pas d'une nature

a

~10US

obliger...

CependaLlt , cornme norre chere

~ú!s

a

de

~rands

principes de délicareífe.... je ne

¡mis

encare me rendre malrre de mes idées. I1

fuur

s'armer de pacience un peu plus

long-te~ps.

Mifs Grandi!fon nous a quirré , pour

s

af–

furer de l'érat de

fa

chere malade. Son ab–

fence n'a pas duré long·temps; les deux

char·

mames perfonnes font enrrées enfemble?

!'une appuyée fur le bras de l'autre,

qm

la

fourenoit avec toures les arrentions de la

plus tendre amirié. Mifs Byron m'a paru

<l'

abord affez

pal

e; mais,

a

la vue de fon libé·

rateur, fes joues fe'fonr couvertes d'un

aima·

ble vermillon.Sir Charles s'eft approché d)elle

d'un air calme

&

ferein, dans la

cra~nte

de

lui

caufer de

l'

émotion

?

&

prévenant,

P~