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CaEv.
GaA
;i.rn!,soN~
1°t1'
Mad..
Reves feroient c
harmées d'enrendre
.mifs Grandiffon
&
mifs Byron
[e
traiter
d~
fa:ur' dans_un fens qui n'emportat pas'
a
l'égard de.l'une, la qualité de frere pour
Gr
Charles.Sice charmant homme... mais pour·
quoim'
aneter
a
cette
id~e
?
Cependa¡:it rien
ne m'empeche d'ajouter que loríqu'elle eíl:
venueaux deux dames,
j'
ai JJen[é que de tous
les hommes que notre·couíine a vus jufqu'a
préfent, le brave • le galant , le
v~rtueux
íir
Charles feroit pem-ecre le feul qui n'auroit
pas beaucoup ge peine
a
lui pJairf;'! , s'jl pre.–
noit de l'im:lination pour elle.
A
la vérité,
il eíl: extremement riche,
&
fes efpérances
;1e font pas moins coníi.dérables du coté
d~
milord
W .....
fon
0~1cle
maternel. Sa
fo:ur,
qui parle de lui comme d'un ho11}me divin
>
,¡.n'adir qu'il ne pouvoit
[e
marier, fans faire
le tourment d'un
e infoúté de crenrs, Sur ce
point, on peut en
di.reautap.t de mifs Byron,
Mais je m'écarte i
nutilement.
Si notre v}lere mifs n'eíl: pas bientot en
érat
d'écrire, peut-ecre recevrez-vous
encor~
µne
l~ttre
de moi.
Je
fuis, &c.
A
R
e
H,
R
E
v
E
s,
Mon courier arr.ive
a
ce moment , avee
~otre
réponfe.
E~
vérité '·
ch~r S~~by,
j'y
rr;>uy~
que]ques hgnes qm
1~
auro1ent pé–
n erre
JU[qu
au fond e:lu cceur , íi notre
cher~
l}lle ne nous <l-VOit pas
ét~
4
hew:~ufem~m:
f~l)que,,