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H
1
s
·T
o
f
Il
l!
bée en voulant faire le récit de fon hill:oire;
&
lorfqu'elle avoit prononcé le nom du mi–
férable qui avoit caufé tomes
[es
peines;
qu~
<iepuis deux jours elle n'avoit encore
fuit
cette relaüon'qu'j¡nparfairement,
fans
quoi
pous aurions éré inieux informés par le cour-
1·ier ; que lorfque je la verrois, je devois
p1'obíerver peaucoup dans mes di[C0urs;
qri'
on avoit fajt venir un habile médecin,
qui ne la quittoit pas un monienr-; &
qui
ordopnoit pardculiérement le reros; qu'avec
un peu de calme
&
de fommei naturel , il
)a garanriífoit hors de danger. Je lis votre
irppatience , a-t-elle ajouté ; mais
il
faut
luj
laiffer le remps de fe remettre
1
Je l'avertirai
alors
qe
vorr~ arriv~e, ~
nous la verrons
enfemble.
J'
~í ~narqu~
beaucqup
el'
empreffement
pour appren)ire du moins comment elle avoi¡
· éré
déli
-r~e.
Ce [era , s'il vous plah, en
déje&nant,
~n'a
dit mifs Grandiifon; j'étois
pr~te
a
M;euner,
lorfqu~
vous
~tes
entré
au
r;bareau.
Elle
a fonpé,
&
le
th~ ay~nt
paru auíli–
¡:ot, nous nous
forp.m~s
alfis , avec autanc
!le
fumiliarit~
que
fi
nous nous étions connus
deppis long-remps. On évite, a-r-ellerepris,
routes les queilions qui peuvent l'affeél:eF.
,Je ne fuis pas trop
bíenin~orm~qnoi,-m~m.~
du détail de
fa
délivrar:.ce. Mon frere
éro1c
~ppcllé
a
la ville 'par eles affaires
prclf~ntes.
A
peine (es
gens
mirent pied
a
rerre. Il
nQ
fio~rtoit r~s
,
~11e
qit-il
?
que
hi
;eun~ qalll~