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'!

heures entieres; máis n'en foyez pas

tto~

effrayé. Ses évanouiífements, quoiqu:auffi

fréquents encare , deviennenr beaucoup

moins dangereux.

Le courier vous apprendra qui eíl: ,mon

frere,

a

qui vous deve

z la confervat

ion de

la plus aimable femme d

'Angleterre.Il

aoi:dre

de vous fervir -de guide

, fi vous nous

faires

l'honneur de venir , vous

&

votre époufe,

dans une maifon ou vous ferez recus ·avec

une parfaite confidération ; car mits

Byron

n'eft point en état d'etre tranfportée. Vous

f

erez convaincu par vos propres yeux ,

Monfieur , qu'elle eíl: rraitée avec tour le

foin poffible par votre tres-humble fervanre.

C

H

1

A R

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G

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N D I S S O

N.

Des trairemenrs cruels

!

Des évanouiffe..:

ments

!

Sans connoiffance pendant des heures

entieres

!

Hors d:érat d'etre tranfportée

!

Et

fa

premiere inquiétude, dans cette fituation,

eíl: pour la tranquillité de fes amis

!

Chere,

chere Henriette

!

Mais c9mrnens:ons par nous

réjouir , cher coufin , de la rrouver dans

1me maifon fi honotable. Ma réponfe eíl: at–

cendue par le courier. Je n'ai pas le remps

'1e vous e_n faire une copie,

&

je fuis

d'ail~

leurs obligé d'écrire

a

~nes

deux amis ' pour

leur faire favoir que leur gens me deviennent

inutiles.

Mifs Byron efl: chez le Comte de L,...

,.~

~lans

un chatean de

es:

f

~i~neur" prpch~

de

Cplµep~-oke,

·