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·14~

H

r s

T

o

1

:n.

!

allées

a

Windfor

,

ou dans le canton ,

&

qu'elle ne les attendoit que dans

huit

jours.

O

le détefiable Hargrave

!

I1

a

des terres

proche de la forét de Windfor. Je ne doute

plus qu'il ne foit !'infame.

Qui

fait-

ce que

cette chere

fille

peut avoir fouffert , avant

que

d'

erre rrainée dans le carroffe

?

Ciel

t

foutie

ns ma patien

ce.

In

fortunée mifs Byron

!

Je me

repréfer.ne

fes prieres,

[es

larmes,

fes

cris ét

ouffés ! O l'

infame Hargrave

!

J'

ai

déja raífemblé autant d'hommcs

&

de

chevaux

,

que deux de mes amis m'en ont

pu fou,rnir. Nous ferons neuf, en comptant

mes deux laquais avec moi. Je pourfuivrai

le miférable jufqu'a l'exrrémité du monde ;

mais

nous n'irons pas

íi

loin pour le trouver.

Notre premiere courfe fera chez lui-meme,

dans la maifon qu'il a pres de Windfor.

Si

nous ne l'y trouvons point

,

nous irons

tomber

a

Reading , chez

ce

Bagenhall.

Ce

feroit--perdre fon temps que d'aller

a

Pa·

dington : la friponne de veuve

&

fes dewc

filles n'y font plus;

&

l'on n'y trouveroit

qu'une fervante mal infonnée, dont on ne

tireroit que ce qu'on fair déja. Cependant

j'ai

accepté l'offre de miladi Williams,

qui

propofe d'y envoyer fon ma1rre d'hótel

avec

les deux porteurs , pour nous procurer rous

les éclairciffements dont

j'

aurai befoin

a

notre retour.

·

· Demain a quatre heures

du

matin ,

le.!

fix

hommes qu'on me prete ,

&

moi-mbne

avec le$ deux .miens

bien armés, nous

d~

1